vendredi 22 août 2008

Vidéo sur le Venezuela

Superbe vidéo
C'est moins touristique que chez certains, mais c'est aussi une réalité locale... Pas vrai?

mardi 12 août 2008

Les Jeux olympiques vus du Venezuela


Il y a semble-t-il quelques difficultés à voir les épreuves des JO depuis le Venezuela... Eh bien tant mieux! 
Regarder ces crétineries est déjà en temps normal assez déplorable en soi, étant donné le bourrage de crâne publicito-économico-décérébro y afférent, mais lorsque les épreuves se déroulent dans un pays qui foule au pied les plus élémentaires droits de l'homme, au vu et au su de tout le monde, ça confine à la plus imbécile des attitudes moutonnesques si chères aux peuples dits civilisés. Cerise sur le gâteau: Internet, télé et presse écrite sont royalement censurés depuis Pékin, tandis que les athlètes et le public sont instamment priés de fermer leurs grandes gueules et de garder le sourire. Attention, vous êtes filmés, faudrait pas que ça vous donne envie d'en profiter... Quant à la grand-messe du sport dopé par le fric, la came et la bêtise, qu'elle continue de fermer les yeux au nom du légendaire et égocentrique The show must go on...

Quoi, quoi? Ah oui... on est des imbéciles vilains empêcheurs de se distraire en rond. Bon, on en parlera aux Tibétains génocidés depuis cinquante ans avec l'aval des grands manitous du monde entier, trop heureux de pouvoir continuer de commercer avec les Chinetoques.
Finalement, les jeux du cirque romains avaient au moins l'avantage d'annoncer clairement la couleur: distraire le public de ses problèmes quotidiens pour les empêcher de trop gueuler, quitte à vendre pour ça du sang et de la souffrance!

mardi 5 août 2008

Vivre sur l'île de Margarita


En définitive, il est très facile de vivre à Margarita. Du moins en apparence. Car si les gens comme le mode de vie sont plutôt relax, les problèmes n'apparaissent que bien plus tard. Il n'est pas question, ici, de prétendre à la science infuse (contrairement aux allégations gratuites de certaines personnes, qui, elles, ont tout à vendre et donc tout intérêt à ne présenter que le beau côté du décor), mais force est de reconnaître que certaines vérités sur la vie locale sont bien peu publiées sur le Web, où les sites à but commercial et les blogs gentillets trustent les serveurs. C'est bien dommage et surtout ça fausse le jugement des gens qui vont venir habiter l'île sur les bons conseils des précédents cités. Pourtant, on ne compte plus les rêveurs qui sont venus s'installer à Margarita et qui sont repartis la queue entre les jambes, parfois en ayant tout perdu. Et la principale cause de ces méchantes désillusions, il faut le dire, est que ces gens ont été mal informés, soit par de réels escrocs soit par des inconscients qui croyaient certainement bien faire en dissimulant les côtés les plus pénibles de la vie margaritegnotte.

Bien sûr, les Vénézuéliens, avec leur sens de l'honneur mal placé mais à fleur de peau, ne peuvent que tomber d'une crise d'apoplexie lorsqu'ils lisent noir sur blanc certaines vérités sur leur beau pays – après tout, au Venezuela, si l'on en croit les autochtones, chacun est muy responsable... faut quand même l'entendre de la bouche d'un Venez pour y croire! Mais les étrangers... sont-ils si benêts qu'ils croient qu'à leur arrivée ici il n'y aura plus qu'à s'acheter une jolie maison, se dorer la pilule sur la plage en contemplant les merveilleux culs rebondis de ces dames et les non-moins fabuleux couchers de soleil ? Dans ce cas, c'est bien triste pour eux, mais viendra indéniablement un jour où ils prendront la réalité dans les dents, et là, faudra pas venir pleurer que c'est tous des méchants et des profiteurs...

Comme on s'en doute, et comme partout, la première approche du pays est la plus facile, à l'heure où le frais expatrié vit encore sur ses illusions et n'a pas encore été réellement confronté aux difficultés locales. Ensuite, après une première année où il a généralement commencé à se frotter aux pénuries alimentaires, aux coupures de courant, au rationnement de la flotte, aux services inexistants, aux administrations inefficaces, aux cliniques surbondées et sans rendez-vous, aux constructeurs incompétents, au climat insoutenable, aux comptables véreux, aux avocats menteurs, aux autochtones profiteurs, aux flics racketteurs, aux voyous sans cesse aux aguets, aux étrangers arnaqueurs, aux mécaniciens branleurs, aux condominios chamailleurs, aux voisins hurleurs, aux véhicules pollueurs, aux taxis tricheurs, on en passe et des meilleures, alors là, oui, il commence à se demander si le jeu en vaut vraiment la chandelle. 

Quotidien:
Bien sûr, la vie peut être très belle à Margarita. Comme partout, avec de l'argent, il y a le soleil et la mer en plus... Chacun peut y faire son trou, avec un minimum d'investissement, beaucoup de chance et pas trop de galères. Mais il faut savoir que rares seront les élus. Prétendre, comme le font certains (pour ne pas effrayer le futur client), qu'il y a plus d'arrivées d'expatriés dans l'île que de départs est totalement faux. Simplement, il faut prendre un peu de recul pour s'en apercevoir. Sur deux ou trois ans, sur cinq ans, combien sont encore là?
Prenons les quelques blogueurs francophones les plus actifs au Venezuela et observons: à une exception près (le crucifix québécois, qui n'est d'ailleurs pas dans l'île), tous ne sont ici que depuis deux ou trois ans, quand ce n'est pas moins. Revenons voir dans quelque temps pour contempler les dégâts... Certains sont restés ici 15 ans, voire 20 ou plus, parce qu'ils n'avaient plus la possibilité de partir ou qu'ils voulaient rester pour une raison ou une autre (profession, famille, retraite, etc.), mais de toute façon, combien sont-ils aujourd'hui? Une petite poignée répartis dans tout l'île, pas plus. Si la migration était si exponentielle que ça, il y aurait 2000 expatriés français de 20 ans dans l'île, et non pas seulement une petite dizaine !

En outre, à nouveau méfiez-vous des allégations commerciales des partisans du système de l'autruche: par exemple, d'après eux, il suffirait d'un peu de sucre planqué dans un placard pour faire dignement face aux pénuries alimentaires ??? Eh ben ça doit pas faire longtemps qu'ils vivent sur l'île, ces zozos-là... Le lait a manqué durant toute l'année dernière, ainsi que le PQ, avant ça c'était l'huile, ou le sucre, ou le sel, ou la farine, ou le café, puis le riz, les pâtes, la viande, le poulet, parfois le tout en même temps et pour des durées variables allant de quelques semaines au mieux à quelques mois. La chose est chronique, récurrente et ingérable. Et puis non, ce n'est pas parce que nous sommes dans une île que nous souffrons continuellement d'un manque parfois cruel d'approvisionnement, mais seulement, encore et toujours, parce que le laxisme des autochtones est tel qu'il paralyse tout ce qu'il touche. Préférez largement la vision de cet autre visiteur, qui, pourtant n'a pas eu besoin de passer 50 ans dans le pays pour voir la réalité telle qu'elle est!
Quant à l'explication de Chavez, qui prétend que les pénuries sont dues aux manquements du secteur privé, elle est totalement fausse, puisque même dans les Mercal, les magasins approvisionnés en parallèle par le système chaviste, les manques sont identiques...

Population:
Les Vénézuéliens sont gentils, on l'a déjà dit. Ils sont aussi opportunistes et branleurs, voleurs et menteurs, irresponsables et bruyants, comme il est littéralement impossible de l'imaginer pour un Européen standard. Si personne n'est parfait – parlons donc de nous: sales, impolis, bidouilleurs et mesquins – il faut toutefois reconnaître que le mode de vie d'un Latino-américain, d'un Vénézuélien en particulier et d'un Margariteño a fortiori, est aux antipodes de celui d'un Français ou d'un Allemand. Ce n'est pas un jugement, c'est un constat. Dès lors, il faut savoir où l'on met les pieds et toute la difficulté est là... Vivre au jour le jour, comme on dit vulgairement, entraîne des conséquences insoupçonnables lorsqu'on n'y a pas été habitués: irresponsabilité, inconséquence, je-m'en-foutisme, etc. Vu de l'extérieur, c'est exotique et presque rigolo... De l'intérieur, en revanche, c'est le stress garanti, tant tout devient impossible ou problématique. 
Essayer de prévoir, d'anticiper, de prévenir ou de simplement s'organiser dans un pays où le système est entièrement tourné dans l'instant présent, assure des ulcères gangréneux pour le restant de ses jours à tout Européen normalement constitué. Celui qui ne le sait pas encore l'apprendra tôt ou tard. Bon, allez, encore un petit lien sur le gars qu'a tout compris en pas longtemps... ça vaut quand même le détour!

Tiens, un jour que Dieu était en pleine création du monde et s'affairait autour du Venezuela, le bon Saint-Pierre vient à passer par là et lui dit:
- Dis donc, croyez pas que vous exagérez un peu, là?
- Comment ça ? lui répondit Dieu.
- Ben oui, regardez-moi ça... Y en a que pour ce coin, là. Vous pouvez quand même pas tout mettre au même endroit !
- Mais si, tu verras, ça va aller.
- Non mais quand même, c'est pas croyable ! Répondit Saint-Pierre. La mer, les montagnes, le soleil, la forêt, les fleuves, la faune, la flore... sans parler de l'or, du pétrole, de l'argent, de l'asphalte, du gaz... Bordel, y vont tout pouvoir faire, avec ça, ce sera les maîtres du monde en moins de deux! 
- Oui, d'accord, mais tu n'as pas encore vu les mecs que je vais y mettre...

Travail:
Pour schématiser, tout étranger qui s'installe à Margarita comprend assez vite qu'il n'est pas possible d'y être salarié et de se préserver le mode de vie auquel il est habitué. Il lui faudra donc se façonner sa petite activité indépendante. Et là, surprise: rien ne marche... La faute aux autochtones, qui ne sont intéressés par rien d'autre (ou si peu) qu'à leurs bonnes vieilles habitudes: à part vendre des empanadas, de la bière ou faire de la mécanique (et aux mêmes prix que les locaux, bien sûr), bonjour les rentrées de pognon...
Reste donc le tourisme, vu que le secteur, pour un expatrié, concerne les étrangers et leurs euros. Du coup, 95% des expatriés visent le même créneau, ce qui n'est pas idéal pour le business, faut bien l'avouer. Après, il y aura encore les démarches administratives, qui finiront de détruire le beau moral du jeune Franchouillard qui se voyait déjà vivre comme un pape dans les Caraïbes... Les mieux lotis, on l'a déjà dit, ce sont les rentiers, qui peuvent se passer une agréable retraite sans se prendre la tête avec le boulot.
Quant à la nécessité de parler le castillan, comme dit l'autre, faut pas se leurrer: ici, c'est pas autre chose que du margariteño, qu'ils causent, et vous aurez tôt fait de vous apercevoir que parler de l'espagnol pur beurre ne vous servira pas à grand chose. L'idéal, c'est d'apprendre sur le tas, à la manière autochtone. Il faut tout de même savoir que l'espagnol d'Amérique est déjà différent de celui d'Europe, d'une manière générale. Ensuite, en dehors des accents spécifiques, il y a les régionalismes propres à chaque pays latino, puis au sein même du Venezuela un Margariteño ne parle pas comme un Caraqueño de Caracas ou un Maracucho de Maracaïbo. Outre les spécialités locales, il y a encore les mots détournés de leur sens d'origine, les mots corrects mais pas utilisés dans le même contexte, les mots importés directement de l'anglais, ou déformés par l'anglais, puis les "blancs" du Scrabble, les mots passe-partout que les gens utilisent pour remplacer à peu près tout et qui rendent la conversation impossible pour un non initié, même hispanophone:
- Comotalavaïna, e la cuestión de la broma lita?
- Comono... cheverré. Seguro te aviso, todo normal
- Oké, perfecto, ablamo. Tchaopué
Notons que Ténécanéo voudra dire Tiene un escaneo?, par exemple, alors que atadehpého signifiera Atras del espejo. Après ça on ne prononce pas les "s", le débit verbal égale celui d'un supersonique atteint de la courante, le passé n'est presque jamais employé, etc. Bien du courage à celui qui parle le castillan...

Avis personnel:
Aucun. Laissons cela à d'autres. Pour une fois, on sera du même avis que les cuistres qui nous entourent: à chacun de se faire sa propre opinion. Simplement, cessons de planquer la merde au chat sous le tapis, les relents nauséabonds qui ne manqueront pas de venir titiller les narines des plus sensibles occasionnent généralement des réveils difficiles...

lundi 4 août 2008

Drame à Margarita


Il semblerait bien, à lire certains blogs bien informés, que depuis plusieurs jours de fréquentes coupures d'électricité viennent assombrir les jours heureux des Margaritaños. Ce n'est certes pas drôle mais il convient tout de même de préciser que si la formidable attitude moutonnesque des autochtones ne venait pas cautionner cette pratique, "courante" (jeu de mot) dans l'île, il y a belle lurette que ces enfoirés aux manettes des coupe-jus se seraient calmés...
Autre précision d'importance, ces coupures de courant se font au mépris total de la population, à n'importe quelle heure du jour et de la nuit, sans avis préalable et pour des durées chaque fois différentes, empêchant par là-même toute anticipation et toute organisation. Il n'est pas rare qu'elles surviennent plusieurs fois par jour, avec parfois juste 5 minutes d'intervalle entre deux, histoire d'occasionner quelques sympathiques fausses joies. Il n'y a plus qu'à subir et, encore une fois, fermer sa gueule, ce que les habitants de l'île font remarquablement bien, avachis dans leurs chaises le long des routes en attendant gentiment que ça revienne!
La question de savoir si la chose est politique ne se pose qu'à des esprits naïfs et fraîchement arrivés dans ce paradis tropical: à chaque élection, à chaque référendum, en effet, les coupures augmentent drastiquement (ce qui ne veut pas dire qu'il n'y en a pas le reste du temps), faisant ainsi grimper l'insatisfaction et espérer que les gens se bougeront enfin pour faire changer les choses. Bien entendu, avec la nationalisation du secteur ça ne fait qu'empirer. Car de toute évidence, c'est l'opposition qui pratique généralement ce type de politique, mais ça n'empêche pas les Margariteños de s'en prendre au régime de Chavez. Pourquoi? Ben... parce que quand il n'y avait pas Chavez, il n'y avait pas l'opposition, et donc pas de problème! Réponse recueillie de vive voix auprès d'un panel représentatif d'indigènes...

Précisons encore, pour ceux qui ne sont pas coutumiers de la vie dans l'île, que panne d'électricité veut dire pas de lumière, certes, mais pas non plus de TV, d'ordinateur, de clim' (sympa quand on se tape un petit 40° à l'ombre), de cuisinière pour la bouffe, lorsque celle-ci a le malheur de n'être pas au gaz, et généralement pas d'eau vu que celle-ci est puisée dans le tank par une pompe à eau... Plus de système d'alarme, pour ceux qui en ont, et plus de portail électrique pour sortir sa tuture pour aller bosser. Cool, la vie sous les palmiers!

Maintenant, pour la bonne bouche, et pour démontrer qu'effectivement, depuis plusieurs jours, les coupures se multiplient, voici la liste fournie par un expatrié des environs, qui a eu la bonne idée de noter scrupuleusement (avec tranches horaires entre parenthèses et en rouge quelques jolis records) toutes les fois où ces messieurs de la Seneca ont fait mumuse avec le courant dans son bled du centre de l'île cette dernière année. Et qu'on se rassure, ce n'est ni la rupture d'un câble sous-marin, ni les intempéries ici ou là, ni des pannes accidentelles qui ont causé ces coupures, il suffit d'observer la précision des heures de black out – de 21h. pile à 22h pile, par exemple – pour s'en convaincre!
  • Lundi 30 juillet 2007: 2h. (10-12) + 1h.30 (12-13) + 1h.30 (14-15); total: 5h.
  • Jeudi 02 août 2007: 1h.30 (12-13) + 45’ (13-14); total: 2h.15
  • Lundi 06 août 2007: 1h. (10-11) + 1h.30 (12-13) + 1h. (14-15); total: 3h.30
  • Mardi 07 août 2007: 30’ (09-10)
  • Mercredi 15 août 2007: 1h. (09-10)
  • Dimanche 19 août 2007: 2h.45 (06-09)
  • Mardi 29 août 2007: 1h. (19-20)
  • Mercredi 05 septembre 2007: 1h. (12-13)
  • Mardi 11 septembre 2007: 1h. (14-15)
  • Samedi 15 septembre 2007: 30’ (07-08)
  • Lundi 01 octobre 2007: 30’ (16-17)
  • Mardi 02 octobre 2007: 1h. (17-18)
  • Jeudi 04 octobre 2007: 45’ (05-06)
  • Samedi 06 octobre 2007: 45’ (15-16)
  • Mercredi 17 octobre 2007: 1h.30 (13-15)
  • Vendredi 19 octobre 2007: 1h. (14-15)
  • Mercredi 30 octobre 2007: 1h. (14-15)
  • Mercredi 07 novembre 2007: 30’ (20-21)
  • Vendredi 16 novembre 2007: 30’ (15-16)
  • Dimanche 18 novembre 2007: 1h. (09-10)
  • Mercredi 05 décembre 2007: 55’ (22-23)
  • Mercredi 12 décembre 2007: 45’ ( 20-21)
  • Vendredi 15 février 2008: 3h. (06-09)
  • Samedi 21 février 2008: 55’ (18-19)
  • Dimanche 22 février 2008: 5h. (07-12); pas mal, celle-là...
  • Lundi 24 mars 2008: 1h.45 (15-17)
  • Mardi 08 avril 2008: 1h.30 (09-10)
  • Jeudi 10 avril 2008: 2h. (14-16)
  • Dimanche 13 avril 2008: 2h.50 (08-11)
  • Vendredi 25 avril 2008: 1h. (12-13)
  • Samedi 26 avril 2008: 1h. (10-11)
  • Mardi 29 avril 2008: 2h.30 (16-18)
  • Mardi 06 mai 2008: 1h.20 (14-16)
  • Mercredi 07 mai 2008: 1h.30 (13-14)
  • Mercredi 24 mai 2008: 30’ (10-11)
  • Vendredi 30 mai 2008: 45 (20-21)
  • Samedi 07 juin 2008: 1h. (08-09) + 1h. (21-22) + 1h. (23-24); total: 3h.
  • Lundi 09 juin 2008: 30’ (20-21)
  • Jeudi 12 juin 2008: 4h.30 (04-10); jolie aussi...
  • Dimanche 15 juin 2008: 1h. (19-20)
  • Lundi 16 juin 2008: 2h. (12-14) + 30’ (19-20); total: 2h.30
  • Mardi 25 juin 2008: 1h. (05-06)
  • Jeudi 11 juillet 2008: 1h. (10-11)
  • Samedi 13 juillet 2008: 6h.30 (06-13); on doit pouvoir faire mieux...
  • Lundi 14 juillet 2008: 3h. (07-10)
  • Mercredi 16 juillet 2008: 30’ (18-19)
  • Vendredi 18 juillet 2008: 1h. (15-16)
  • Lundi 21 juillet 2008: 1h. (13-14) + 30’ (15-16); total: 1h.30
  • Mardi 22 juillet 2008: 45’ (15-16)
  • Samedi 26 juillet 2008: 1h.30 (06-09)
  • Lundi 28 juillet 2008: 1h.30 (12-14) + 1h.30 (21-23); total: 3h.
  • Mardi 29 juillet 2008: 1h. (21-22)
  • Jeudi 31 juillet 2008: 2h. (16-18)
  • Vendredi 01 août 2008: 30’ (13-14) + 1h. (16-17); total: 1h.30
  • Samedi 02 août 2008: 1h.30 (22-24)
Amusant, non?
Et pour les décérébrés (Venez ou non) qui ne manqueront pas de publier ici des amabletés du genre "rentrez chez vous si ça ne vous plaît pas", on précisera que ce n'est pas parce qu'ils peuvent aller se goberger au Sambil tous les week-end en frimant au volant de leur 4x4 rutilant et en se bourrant de mauvais whisky (connaissent même pas le pur malt) qu'ils sont dans un pays civilisé... Pour qu'un jour le Venezuela cesse de figurer dans la liste des bourbiers du bas tiers-monde, faudra d'abord que sa population se sorte les pouces du cul, soit dit sans animosité aucune, bien sûr! Car ce n'est certes pas un manque de moyens qui fait du Venezuela un pays inconfortable à bien des égards, ce n'est que le laxisme de ses ressortissants, incapables de se prendre en charge et de relever leurs manches. 

Et pour ceux qui n'y croient pas, qu'ils demandent seulement à des Colombiens, des Écuatoriens ou des Brésiliens ce qu'ils pensent des Vénézuéliens... ils constateront qu'il n'y a pas que de vilains expatriés français à observer d'un œil critique ces rois du je-m'en-foutisme et de la fénéantise! Triste réalité, mais réalité quand même...