tag:blogger.com,1999:blog-54142690495147538242024-03-14T08:31:54.386-07:00El MargariteñoBuenas, Toutes les infos sur l'île de Margarita, Immobilier, Actualité, Quotidien, Tourisme, Billets d'avion.El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.comBlogger21125tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-88435845417102253152009-06-19T07:55:00.000-07:002009-06-19T09:11:01.769-07:00Clémentine au VENEZUELAAlors voilà une jolie découverte bloguesque de notre <a href="http://margariteno.blogspot.com/2009/06/clementine-au-venezuela.html" target="_blank"><b><span class="Apple-style-span" style="color:#3366FF;">inénarrable ami</span></b></a>! Il s'agit des pérégrinations vénézuéliennes de la bonne et maligne Clémentine, et ça vaut son pesant de cacahuètes pour la toux. Petit florilège de bons mots:<div><div><a href="http://www.tiptop-venezuela.com/" target="_blank"><img style="cursor:pointer; cursor:hand;width: 154px; height: 200px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEi2hMQVwrpSU4xnwCQAAOjD_VJ3SDSNeJowV7Rx35Vz-cCvMmgukUCGtPog7n93akQQFCrCYq888ah94JgXKyip0cHr-afFyAPNWhmc7yUQNG4BR1ronLIKCGtmDH5schGr-nIKXqLu_iU/s320/logo.png" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5349054508351678338" /></a><span class="Apple-style-span" style="font-family:Verdana, Arial, sans-serif;color:#333333;"><span class="Apple-style-span" style=" line-height: 16px;font-size:-webkit-xxx-large;"><br /></span></span><div>«Décalage horaire : <b>5h30</b> heures en été, <b>4h30</b> heures en hiver (et oui, 30 mn de moins que le décalage standard pour la zone!)»</div><div><i>><span class="Apple-style-span" style="color:#FF0000;">A l'heure où je vous parle, il est ici 11h. 30 et à Paris 18h. Donc soit je calcule mal, soit j'ai raté un épisode, mais là, moi, je compte <b>6h. 30</b> de décalage...</span></i></div><div>«Sur l'année la température varie entre <b>13 et 27°</b>C à Caracas, <b>21 et 33°</b>C à Porlamar»</div><div>><i><span class="Apple-style-span" style="color:#FF0000;">Cette semaine, on oscille allègrement <b>entre 33° et 37° à Margarita,</b> et on n'est pas encore entrés dans l'été... Quand on sait que ça va plomber dans les <b>36° à 40°</b> et des poussières, et qu'on ne descend quasi jamais en dessous de <b>27°</b>, on se demande où la bonne Clémentine est allée planter son thermo...</span></i></div><div>«Pabellon criollo : <b>Viande hâchée</b> servie avec des <b>plantis</b> frites (bananes vertes) et avec des haricots noirs»</div><div>><i><span class="Apple-style-span" style="color:#FF0000;">Un pabellón sans riz ni arepa c'est assez folklorique... Quant à la viande, elle est effilée (<b>mechada</b>) et non pas hâchée. Les plantis, connais pas (sans doute veut-on parler du <b>platano</b> – en français banane plantain)... Les haricots, par contre, c'est tout juste, et ça se dit <b>caraotas</b>.</span></i></div></div></div><div>«Une chose est sûre, tous les Vénézuéliens ont en commun une <b>passion pour la musique</b>. Dans la rue, sur la plage, dans les restaurants, en soirée... vous ne pouvez pas le manquer! Les rythmes les plus écoutés et dansés sont les tambores, la salsa, le merengue et <b>depuis peu,</b><b> le reggaetton</b>.»</div><div>><i><span class="Apple-style-span" style="color:#FF0000;">La donzelle n'a pas encore pigé que c'était pas la musique, qu'ils aimaient, mais le <b>BRUIT</b>. Pas pareil! Et pis au rayon des rythmes les plus subis, on peut sans autre indiquer le <b>reggaeton à 90%</b>. Pour le reste, elle n'a pas l'air de goûter le <b>joropo</b> ni la <b>gaita</b>, mais c'est vrai que c'est moins populaire dans les boîtes à touristes...</span></i></div><div>«Histoire: Le pays est exploré par Amerigo Vespucci et Alonso de Ojeda. Ils donneront au Vénézuela son nom : Venezziola ou petite Venise, pour la ressemblance des maisons sur pilotis du lac de Maracaïbo à la ville italienne. La conquête ne tarda pas. Venus convertir la population au catholicisme et rechercher les richesses du pays (dont les perles qui avaient été trouvées à Margarita), les Espagnols furent confrontés à la résistance des indiens et notamment à celle de Gauicaipuro le chef de la tribu Caribe qui fut finalement capturé en 1567.»</div><div>><i><span class="Apple-style-span" style="color:#FF0000;">Mais avant ça, ma petite dame, il y a eu les Allemands... Parce que le Venezuela, c'est quand même <b>les Welser</b> qui l'ont colonisé en premier, faudrait préciser, quand on se fend d'une (lourde) page d'histoire...</span></i></div><div>«Visa: <b>Aucun visa n'est nécessaire</b> pour un séjour inférieur à 3 mois. Pour un séjour de durée supérieure, il vous faudra demander un visa à la section "consular" de l'Ambassade du Vénézuela en France.»</div><div>><i><span class="Apple-style-span" style="color:#FF0000;">Intéressant d'apprendre qu'il ne faut pas de visa pour le Venezuela... Pour ceux qui chercheraient tout de même midi à quatorze heure, sachez que la carte touristique remise dans l'avion <b>EST un visa!</b> C'est un visa simplifié pour faciliter l'accès au pays à certains ressortissants et il n'est disponible qu'avec l'entrée en avion. C'est d'ailleurs pour ça qu'une arrivée par terre ou par mer nécessitera un "vrai" visa consulaire.</span></i></div><div>«ça c'est pour les motos et les scooters, <b>scooters que je n'ai jamais vus</b> d'ailleurs. »</div><div>><i><span class="Apple-style-span" style="color:#FF0000;">Jamais vu de scooter au Venezuela ??? Eh ben dites donc, c'est les Chinois qui vont être contents de l'apprendre...</span></i></div><div>«Et d'autres part parce qu'il est assez <b>fréquent</b> que les personnes sur les belles <b>motos se fassent courser en ville</b> pour se la faire dérober... »</div><div>><i><span class="Apple-style-span" style="color:#FF0000;">Ouais, c'est vrai, on voit fréquemment ce genre de rodéos dans les rues de Porlamar... Et les mecs sont balaises, parce que pour rattraper une moto dans le trafic, bonjour le slalom!</span></i></div><div>«Mauvais plan donc! (Ceci dit, j'ai vu un reportage où le guide prenait une moto... <b>Conduite par un local!</b>)»</div><div>><i><span class="Apple-style-span" style="color:#FF0000;">Donc, se balader avec un "local" c'est carrément le truc inimaginablement <b>craignos</b>... Alors surtout: NE VOUS BALADEZ QU'AVEC DES ALLEMANDS EN SHORTS, au minimum!</span></i></div><div>«Il est toujours bon de laisser un pourboire. <b>Certains restaurants</b> rajoutent d'office 10% de service.»</div><div>><i><span class="Apple-style-span" style="color:#FF0000;">Effectivement, au Venezuela le service n'étant pas compris, il est <b>TOUJOURS</b> rajouté sur l'addition. </span></i><br />«La <b>plupart</b> des taxis n'ont pas de compteur»</div><div>><i><span class="Apple-style-span" style="color:#FF0000;">Perso, je n'ai <b>JAMAIS</b> vu un compteur dans un taco, tout au moins à Margarita. Mais je suis mauvaise langue...</span></i><br />«évitez également de prendre des glaçons (prononcer le <b>mot magique "sin hielo"</b>) à moins d'être sûrs qu'ils ont été faits à partir d'eau potable. »</div><div>><i><span class="Apple-style-span" style="color:#FF0000;">Cool! Sûr que ça va être magique, les <b>cocktails à température ambiante</b>...</span></i><br />«La vaccination contre la fièvre jaune est <b>obligatoire</b>»<br /></div><div>><i><span class="Apple-style-span" style="color:#FF0000;">Ah bon? Première nouvelle... Faudra que je dise ça à la famille et aux potes qui viennent me visiter chaque année sans leur précieux carnet, ça va les faire marrer!</span></i></div><div>«Vous avez du entendre parler du change parallèle qui existe au Vénézuela. En fait, le cours du change officiel à été <b>bloqué ou bien est contrôlé (ça dépend des fois)</b> pour ne pas que le bolivar s'effondre.»</div><div>><i><span class="Apple-style-span" style="color:#FF0000;">Oui, <b>ça dépend des fois</b>... et de l'âge du capitaine, et de si Chavez a le rhum des foins... Donc, ça bloque ou ça débloque!</span></i><br /><br /></div><div>En tout cas, comme notre ami, moi j'aime beaucoup, le site de Clémentine. Beaucoup d'informations non vérifiées et vieillotes, du vécu bien touristeux comme on l'aime. Le seul défaut, c'est qu'à force de se bidonner, on en a mal au ventre.</div><div>Allez, <i>suerte</i> quand même et sans rancune.</div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-44336248074899648702009-04-06T07:04:00.000-07:002009-04-06T08:00:22.185-07:00Aéroport de Caracas<div style="text-align: center;"><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjUclrOF7NIn9YVxQ6SvDVJeRjEMahlmkKhJWDBltQlk205qMZJ48k65RZfVSOv_Oz9rX6FjCI6FpmGEXG2k9uEo_WrNhMf0cC7rWR6KxmcJtlw43xooTOKbdGrI-D4RPDJixMSUx7i394/s1600-h/aeropuerto.jpg"><img style="cursor:pointer; cursor:hand;width: 400px; height: 83px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjUclrOF7NIn9YVxQ6SvDVJeRjEMahlmkKhJWDBltQlk205qMZJ48k65RZfVSOv_Oz9rX6FjCI6FpmGEXG2k9uEo_WrNhMf0cC7rWR6KxmcJtlw43xooTOKbdGrI-D4RPDJixMSUx7i394/s400/aeropuerto.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5321589585600316786" /></a><br /></div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">L'aéroport international de Maiquetía,</span> à Caracas, n'est pas un modèle d'accueil au Venezuela, c'est le moins qu'on puisse dire, mais c'est pas propre à l'aéroport, c'est comme partout au pays: pas de service et des gens qui vous font la gueule, probablement parce qu'ils doivent bosser!<div><br /><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Précautions:<br /></span>Eh oui, pas de miracle, comme partout au Venezuela, là aussi, les arnaques sont monnaie courante. Pas besoin de préciser, donc, qu'il faut être prudent dans ses paiements, en particulier avec sa carte de crédit, que, soit dit en passant, il faut vraiment être débile pour utiliser vu qu'elle débitera les bolivars au taux officiel, ce qui fait perdre la bagatelle de la moitié du pouvoir d'achat... C'est vous qui voyez!<br /><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Installations:<br /></span>Tout nouveau tout beau, y a maintenant un passage qui relie les deux aéroports, le national et l'international, on n'est donc plus obligés de se farcir au pas de course les 500 mètres qui séparent les deux sous un cagnard d'enfer et la pollution bienveillante. Evidemment, faut toujours se taper les valises, à moins que... paragraphe suivant (z'avez vu comme c'est bien amené ?)<br /><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Porteurs:<br /></span>Là, encore une fois, c'est vous qui voyez... Théoriquement, y a un tarif de base, qui est de 10'000 bolos pour la traversée (500 mètres, donc), et comme le salaire moyen est de 3000 bs de l'heure en moyenne (c'est <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 204, 255);"><a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/02/aroport-de-caracas.html" target="_blank">lui</a></span></span> qui le dit, j'ai pas vérifié), ça fait plus de trois heures de boulot pour 500 mètres à pied; même une limace autochtone anémique et desséchée doit pas aller beaucoup plus lentement que ça... En tout cas, question revenu, c'est pas mal pour un glandu qui se gauffre entre 20 et 30 gugus par jour ! A part ça, faut pas vous leurrer, avec vos trois mots d'espingouin, votre joli teint rosacé, votre front en sueur et vos fringues fripées, vous aurez de toute façon droit à un prix d'ami, et les amis sont chers, comme chacun sait.<br /><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Accompagnateurs:<br /></span>Comme tout se paie, dans la vie, il est certain que vous n'allez pas faire d'économies en prenant un de ces gentils et désintéressés «accompagnateurs» qui vous alpagueront dès votre passage de la porte coulissante. Aimables, souriants, ils vont vous aider à trouver une correspondance, à changer du fric au black, à trouver un taxi et beaucoup plus si entente. Tout est gagnant pour le bonhomme: les commissions de toutes sortes, la majoration des prix au passage (ils vont se gêner !), la main baladeuse en cadeau si vous avez le malheur de tourner la tête du mauvais côté, plus, bien entendu, la salaire que vous allez leur payer, qui sera en rapport avec votre totale méconnaissance du pays, du taux de change, des habitudes et de la langue. Et pis comme il fera la gueule s'il n'obtient pas assez à son idée, vous allez vous fendre d'un petit bonus bien mérité...<br /><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Change:<br /></span>Il va de soi que les crétins des Alpes qui vivent ici selon le taux de change officiel n'ont pas inventé l'eau tiède... Le dollar, il se change à 2150, taux bloqué par <span class="Apple-style-span" style=""><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">El Señor Presidente,</span></span> mais dans la vraie vie, celle de la rue, il vaut dans les 5500 à ce jour (euro officiel dans les 2800 et blacky: quasi 7000). Calculez vous-même! Les risques de changer au black sont comme partout, faut éviter de faire n'importe quoi n'importe comment. Pour ceux qui se font avoir parce qu'ils entrent dans une arrière d'officine lugubre et mal éclairée, ou ceux qui savent pas compter la monnaie qu'ils reçoivent en échange de leurs dollars, bien fait pour leur gueule ! Qu'ils aillent voir à la Gare de Lyon comment ça marche avant de prendre l'avion pour les tropiques... <div>Pour un bon indice du prix au black, qui évolue constamment, on vous recommande <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 102, 255);"><a href="http://liberal-venezolano.net/blog/dolar" target="_blank">ce site</a></span></span>, ou <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 102, 255);"><a href="http://venezuelafx.blogspot.com/" target="_blank">celui-ci</a></span></span>, ou encore <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 102, 255);"><a href="http://dolarparalelo.blogspot.com/" target="_blank">celui-là</a></span></span>. A savoir que ce taux «officiellement» black est celui qui se pratique chez les investisseurs étrangers qui bricolent avec des devises, mais dans la rue, on n'obtiendra jamais ça... A Caracas, où le taux est meilleur qu'à Margarita, on peut enlever 200 ou 300 bolos sur ce taux idyllique, et 500 ou 600 pour Margarita. Quant au bolivar dit «fort», il faut retrancher trois «0» au bolo normal pour l'avoir, mais il n'y a que les idiots qui n'ont pas encore compris qu'une dévaluation digne des chutes d'Iguaçu allait leur tomber sur la trogne qui l'utilisent. Pour les autres, ils ont pigé depuis belle lurette qu'il valait mieux garder ses bonnes vieilles références...<br /><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Taxes:<br /></span>En partant, y aura des taxes, de plus en plus chères, vous verrez bien, démerdez-vous on n'est pas l'Armée du Salut.<br /><div style="text-align: left;"><br /></div><div style="text-align: left;">Hasta luego et good luck.<br /></div></div></div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-72995098493293679782009-02-10T10:01:00.000-08:002009-02-13T10:37:08.640-08:00Un lecteur me pose des questionsBonjour Io-io,<br />Voici mes ch'tites réponses, mais y peut y avoir de légères lacunes, <span style="font-weight:bold;">mais je faire au mieux.</span><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><br /></span>- Connaissez vous quelles sont les procédures légales à suivre pour les étrangers pour s'y installer à long terme ?<span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"></span></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">></span></span><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 102, 255);">Les ambassades ne te vendront que des visas, qui sont par définition temporaires, qu'ils soient émis au Canada au Panama ou au Kamtchatka. La loi, c'est un <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Transeúnte</span></span> par an renouvelable 4 fois; après c'est la résidouille. En théorie du moins. Par conséquent, mieux vaudra entamer des démarches légales, c'est-à-dire se pointer à l'ONIDEX de Caracas, faire des plombes de queue et s'entendre dire que désolé, mais y a pas ! <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Au final, tu feras comme tout le monde:</span> t'achèteras une "Résidence" – bricolée par un quelconque contact qui fera propre sur lui –, qui sera légale, te coûtera 5 millions de bolos au taux du jour (plus ou moins 1000$ US) et ne sera pas inscrite dans le système. Et pis au premier contrôle sérieux (de plus en plus nombreux aux aéroports), crac dedans! Tu finiras au gnouf ou, au mieux, en voiture Simone pour la Transylvanie et sans toucher de prime en passant par le Start. Good luck. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Reste l'astuce du tampon "entrée-sortie" à l'aéroport, </span>qui te redonne un droit de résidence touristique de 3 mois, mais qui coûte 300'000 bolos chaque fois et qui reste "limite" vu que le séjour total dans le pays sera de toute façon dépassé; un tâtillon ne manquera pas de te le faire remarquer à coup de bakchich.</span></div><div>- Comment c'est le niveau de la vie en général sur l'île et surtout comment un étranger puisse s'adapter à long terme ?<br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">></span></span><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 102, 255);">Ici comme partout, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">un étranger puisse s'adapter avec un minimum d'efforts personnels,</span> mais il faudra qu'il accepte les coupures de courants, le rationnement d'eau, les voleurs et les menteurs, le bruit, la saleté et l'inefficacité. Sinon, le reste, ça va.</span><br /></div><div>- Je parle le roumain, le français et l'anglais et..sûrement, en quelques mois je me débrouillerai apprendre un peu d'espagnole aussi<br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">></span></span><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 102, 255);">Cool, un expat de plus qui vient sans l'espingouin... Arnaques et profit en vue, ça va rigoler au pays!</span></div><div>- Quelles sont les démarches pour acheter une propriété (maison, appartement):<br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">></span></span><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 102, 255);">NE PAS s'enregistrer auprès du fisc et du cadastre vénézueliens, il sera toujours temps de le faire au moment de la revente du bien immobilier. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Sinon, comme partout, ils t'ont dans le colimateur </span>(visite surprise de la flicaille pas exclue sous quelque prétexte financièrement exploitable) et accessoirement, ça douille en impôts! <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Evite toute agence immo, c'est des escrocs et ils vendent ce qui n'est pas parti par le bouche à oreille,</span> le moyen le plus adapté à la mentalité locale. Attention aux avocats, tous véreux, et à la notaria, le plus souvent de mèche avec ces derniers.</span></div><div>- Un étranger, s'il a besoin d'un crédit hypothécaire au Venézuela, peut-il l'obtenir sur place avec les banques locales ? <br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">></span></span><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 102, 255);">Non, si t'as pas de tunes, reste chez toi. Conseil d'ami.</span></div><div>- Le coût d'une assurance maison ? <br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">></span></span><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 102, 255);">Evite un max les assurances; plus qu'ailleurs, au moment de rembourser les dégâts tu pigeras pourquoi. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Pour la maison, le mieux est encore le Rottweiler; ça bouffe un peu de pain, mais ça tombe pas en panne à la moindre coupure de courant </span>et surtout les autochtones paniquent à la vue d'un simple bichon. Donc effet garanti. Pour la bagnole, le mieux est de parler la langue... et de savoir s'en servir!</span></div><div>- Peut-on apporter notre voiture avec nous ? <br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">></span></span><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 102, 255);">Sans problème, suffit de la foutre dans un container. Mais après, faut savoir:<span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"> l'importation de toute voiture d'occasion est prohibée dans le pays, sauf si t'es déjà Résident et que tu as officiellement passé au moins 10 mois à l'étranger.</span> Du neuf, on peut faire venir, mais faudra payer les taxes comme une importation normale, et ça crache. Mais si tu veux vraiment venir avec ta <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">Traban</span>, no probs: t'as le choix à la rentrer comme touriste, valable trois mois, pis après de te démerder de la faire "injecter" dans le système par un bon contact. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Sinon, tu peux le faire légalement en utilisant le quota de chaque Résident qui revient au pays et qui peut prendre avec lui UN véhicule usagé. </span>Tampons et tout le bataclan, mais en trouvant une poire qui joue le jeu, ça le fera. Après, faudra l'immatriculer, et ça c'est encore un autre morcif! Dans l'île, le régime "puerto libre" fait que si tu as des plaques locales tu pourras pas revendre ta chiotte d'ici 3 ans et qu'il faudra la faire pointer tous les ans pour prouver qu'elle n'est pas sortie de l'île. Le mieux, bien sûr, ce sera de mettre des plaques "nationales".</span></div><div>-L'état générale du système routier sur l'île ? <br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">></span></span><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 102, 255);">Ouaaahhh, la méchante blague !</span></div><div>- Le système judiciaire et bureaucratique, police, etc ? est-il juste ou corrompu ? <br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">></span></span><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 102, 255);">Oui, on peut beaucoup dans la légalité, mais faut quand même avouer que plus corrompu qu'ici, c'est dur à trouver...</span></div><div>- La sécurité en général sur l'île (pour les etrangers) ? <br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">></span></span><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 102, 255);">A part les séquestres express, les vols à l'arraché, les visites impromptues de domicile, les escroqueries à la carte de crédit, les vols à l'opportunisme, à l'astuce et autres rigoleries, c'est plutôt pépère.</span></div><div>J'espère avoir répondu à tes questions, mais le mieux c'est encore que tu te fendes d'un bifton d'avion pour venir voir sur place. Je sais bien qu'on est au pays des feignasses, mais faudrait pas trop pousser mémé dans les orties...<br /></div><div>Allez, salut chez toi et force pas trop sur la gnôle, because c'est pas ici que tu décrocheras.</div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">PS<span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 0); font-style: italic; font-weight: normal; "></span></span></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 0); font-style: italic; font-weight: normal; ">Je sais pas vous, mais moi je trouve que <a href="http://margariteno.blogspot.com/2009/02/un-lecteur-me-pose-des-questions.html"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">Notre ami</span></span></a> s'est bien amélioré... Moins de salades... Comme quoi le pastiche a parfois du bon: ça pousse à enfiler 7 fois ses doigts dans le clavier avant de raconter des bobards, sous peine de se faire brocarder par un imbécile aux aguets...</span></span></span></div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-1734400359402411702009-02-07T20:40:00.000-08:002009-02-07T20:59:16.347-08:00Enmienda, les Vénézueliens aux urnesFut un temps ou quelque gouailleuse belge entonnait un ineffable "j'voudrais bien-ouin-ouin-ouin... mais j'peux point-ouint-ouint-ouint"...<div>Ceci pour dire que là, non vraiment, le Pasticheur de ces dames jette l'éponge... Y a quand même une limite à ce qui est publiable ou non, même sous forme de billevesées abyssales, d'aberrations rigolardeuses et de calembredaines saucissonesques... <div>Le SI, le NO, le fonds et la faurme, les fôtes d'orthografes et de sintakse en sus, laisseraient pantois n'importe quel accrobate liryque un tant soit peux conserné par la sémantique et désireut, même furtivemant, de laisser un message intailligible à les ceusses que la situation politique vénézuélienne interpèle.</div><div>Dontte akte et bon week.</div><div>PS</div><div>Ceux qui n'ont pas suivi n'ont qu'à se ressourcer le bulbe à l'incomparable billet de notre concurrent et néanmoins ami <span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 102, 255);"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><a href="http://margariteno.blogspot.com/2009/02/enmienda-les-venezueliens-aux-urnes.html">Joe-Les-Babouches</a></span></span>.</div></div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-27475313211962852462009-02-05T06:54:00.000-08:002009-02-05T08:18:26.281-08:00Carnaval et Semana Santa à Margarita<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjDzmm-QIJSxeOX_ypcLTei2WJkzCE4NK_PY7y7_Jvv1PWZggfG0yu4vU2hyphenhyphenWOxO3XjARLXXKQMSWbnJnLV1xv3Knc2qizp7cCrBOCsGjMTVPK3Edp5knR2BDIby6AG6SpGvnUeisIcJcs/s1600-h/Carnaval2.jpg"><img style="cursor:pointer; cursor:hand;width: 320px; height: 240px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjDzmm-QIJSxeOX_ypcLTei2WJkzCE4NK_PY7y7_Jvv1PWZggfG0yu4vU2hyphenhyphenWOxO3XjARLXXKQMSWbnJnLV1xv3Knc2qizp7cCrBOCsGjMTVPK3Edp5knR2BDIby6AG6SpGvnUeisIcJcs/s320/Carnaval2.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5299327622878025794" /></a><div><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgeOxvLm7ZA8r5LgJx2NmvLKEqGmjc1bwowIiD2RyO9lTiZZAav_Kn1onX0yOmGH6vj2XDshIIDl0avT5cy_2jV9X_yOokx-Fv3uV6DiulGX8qsb2vbOROfzZMOwtPbZLcpmuVwekt1eu0/s1600-h/Carnaval1.jpg"><img style="cursor:pointer; cursor:hand;width: 320px; height: 240px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgeOxvLm7ZA8r5LgJx2NmvLKEqGmjc1bwowIiD2RyO9lTiZZAav_Kn1onX0yOmGH6vj2XDshIIDl0avT5cy_2jV9X_yOokx-Fv3uV6DiulGX8qsb2vbOROfzZMOwtPbZLcpmuVwekt1eu0/s320/Carnaval1.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5299327465171346034" /></a><br /></div><div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Le carnaval, </span>comme tous les ans à Margarita, se rapprochera plus d'un rassemblement de pingouins endimanchés que d'un élan festif type Rio de Janeiro. C'est qu'ici, dans la fête comme dans tout le reste, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">on est au royaume de l'à-peu près, au pays des glandus et des gougniaffiers.</span> Le résultat est un mélange dilettante de costumes mal cousus, de chars bricolés à la mords-moi l'nœud, de fanfares qui jouent aussi juste qu'un troupeau de bisons est leste et gracieux. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Les petits majorettes lâchent maladroitement leur bâton à tous les coins de rue, les cuivres rivalisent d'agressivité avec les alarmes auto et les décors en papier mâché se font la malle au moindre souffle... </span>Mais les gens sont contents, la bière coule à flots – comme le reste du temps d'ailleurs – et le climat est généreux. Ceci étant, le touriste qui débarque là au milieu risque d'être assez surpris par le niveau de la prestation, qui ferait bien piètre figure face aux réjouissances sylvestres de Moche-les-Grands-Clapiers !<br /></div></div><div>Bien sûr, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">toute l'île participe à l'événement mais il n'existe pas de carnaval centralisé, juste une mosaïque de fiestas locales</span> dont celle de la Blanquilla, qui est la plus réputée (contrairement à ce que prétendent certains de <span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 102, 255);"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><a href="http://margariteno.blogspot.com/2009/02/carnaval-et-semana-santa-margarita.html">ceux</a></span></span> qui ne sortent guère de leur espace protégé). Là, une escouade de zozos peinturlurés défilent à la nuit tombée devant un parterre d'imbibés et de familles qui promènent leurs asticots en pissant sous la lune. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Les bouchons automobiles et les fritures pas fraîches engazent les narines, les klaxons, les alarmes et les dissonances fanfareuses vrillent les tympans,</span> tandis que la caravane passe avec sa tripotée de chars décorés aux couleurs de la bière <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">Polar</span> et de gamines qui lèvent bien haut les cuisses pour au cas où on n'aurait pas encore pigé que putain elles sont bonnes dans ce pays!</div><div><br />Bon séjour quand même et crachez pas trop dans la soupe, ça fait des envieux.<br /></div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-51991269856162297672009-01-22T11:26:00.000-08:002009-01-22T12:11:20.068-08:00Un site internet sur le Venezuela<a href="http://margariteno.blogspot.com/2009/01/un-site-internet-sur-le-vnzuela.html" target="_blank">http://www.venezuelagogos.com</a><br />Spécialisé dans l'immobilier cher, la vente de tout ce qui se vend et des infos touristiques très intéressées.<br /><br /><br />Venez nous voir au Venezuela, vous serez sacrément surpris! ____________________________________<br />Le Venezuela est un pays de voleurs et de menteurs comme vous n'en avez jamais même rêvé et qui saura vous étonner avec ses plages de sable fin rebondies de papiers gras, de boîtes de bière et de chiens galeux. Mais les paysages sont assez jolis, dans l'ensemble, une fois le rideau de crasse écarté! Voyagez et découvrez des possibilités de tourisme que seul le Venezuela peut offrir: explosions assourdissantes de pétards toute l'année, auto-radios à décibels surboostés, trottoirs et routes défoncés, arnaques à la carte de crédit garanties, population fainéante et opportuniste, rayons de magasins désespérément vides, coupures d'électricité quotidiennes, flotte rationnée, bière fadasse, corruption omniprésente, inflation maximaliste, politique dictatoriale au goût du jour, culture niveau fixe-chaussettes, <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">enlèvement express</span> assez probable en cas de sortie nocturne, contrôles de police routiers réguliers, personnel hôtelier antipathique, services inexistants, etc.<div>Bien sûr, dans nos pages nous prenons soin de ne vous montrer que les jolies photos qui donnent envie et on cache soigneusement la merde au chat sous le tapis. Nos conseils pratiques sont toujours intéressés et même si on vous souhaite d'apprécier votre voyage on espère surtout que vous lâcherez un max de pépettes en euros pour pouvoir se les goinfrer au marché noir. Dans la partie Immobilier, vous trouverez les produits qui nous rapportent le plus et qu'on va tenter de vous refiler aussi cher que possible, vu que c'est notre but au départ. Dans le même ordre d'idées, vous pourrez acquérir des bateaux et tout ce qui est bien dispendieux. Allez, bienvenue chez nous. On vous aime déjà!</div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-9040836696656136502008-12-15T07:11:00.001-08:002008-12-15T07:50:57.290-08:00Le point sur la politique vénézuélienne<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjHkuIQdBeWFGU8k6xrJSA6aO8pNxmnzfiV8PhN5aMhtFhI9stW6oHuA0RyU32PZJDND6y3DyMUeruc9l1Kgabw5edjGa1ujnw-kHJ3sQpvDWElt16wt0LHez1sHhOj0H5raze1jHM4sew/s1600-h/UhAh.jpg"><img style="cursor:pointer; cursor:hand;width: 200px; height: 137px;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjHkuIQdBeWFGU8k6xrJSA6aO8pNxmnzfiV8PhN5aMhtFhI9stW6oHuA0RyU32PZJDND6y3DyMUeruc9l1Kgabw5edjGa1ujnw-kHJ3sQpvDWElt16wt0LHez1sHhOj0H5raze1jHM4sew/s200/UhAh.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5280035155063746242" /></a><br /><div>La révolution bolivarienne a merdé. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">L'économie est à l'agonie, une inflation de pas loin de 50% nous ronge les burnes. </span>Les dernières élections ont montré le vrai visage de ce que pense le peuple: on veut bien d'une gentillette réforme, mais faudrait pas pousser Mémé dans les orties.</div><div>Dans l'île de Margarita, notre bien-aimé <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">Président</span></span> (attention à la capitale, sinon c'est retour au merveilleux pays de Sarko avec un pied dans le cul) <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">subventionne une escouade de 15'000 révolutionnaires </span>qui s'occupent gentiment à ramasser les bouteilles vides et à gratouiller au bord des routes les mauvaises herbettes. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Ils sont tous payés au Smic, pas loin de 900'000 bolos mensuels par tête d'œuf.</span> Comme la mesure est au niveau national, on peut s'amuser à calculer à combien <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">Papy Chavy</span></span> (attention aux majuscules) doit calculer son baril pour s'assurer de rester au pouvoir. Enfin... Jusqu'au mois de mars s'entend ! Car après, si tout va bien, il sera enfin élu à vie. Alors tu penses bien que les mecs en rouge n'auront plus qu'à aller se rhabiller dans la couleur qui leur plaira...</div><div>Depuis plusieurs mois, en effet, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">Tonton Macoute</span></span> (capitales, SVP), aidé d'une tripotée d'avocats et d'experts en détournements de lois, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">cherche le moyen de contourner la Constitution</span> (qui ne l'autorise pas à se représenter, vu que la Réforme de décembre dernier n'est pas passée) tout en faisant que ça ne se voie pas trop quand même. Et le <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">Bougre</span></span> (majuscule...) a trouvé: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">il va recueillir 1,8 million de voix de pignoufs qui seront ceux qui EXIGENT qu'il y ait un référendum</span> pour voter à ce que le <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">Présidou</span></span> (vous savez quoi...) puisse être élu à vie, ou plus exactement que sa réélection ne connaisse plus de limite. En clair, on va s'occuper de séduire à coup de carottes et de bâton quelques branleurs pour qu'ils représentent LE PEUPLE, qui a tellement envie que <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">UH-UH/AH-AH</span></span> puisse finir ses jours dans la peau d'un roi démocratique.</div><div>Bon, certains diront que le coup du bâton est impossible, vu que le vote est secret... Je rigole ! <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Pour ceux que ne le sauraient pas, voilà le topo:</span> les votants doivent s'inscrire sur une liste avant de pouvoir passer aux urnes. En parallèle, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">Chacha</span></span> tient aussi sa liste de ceux qui l'admirent et qui vont le soutenir. En soustrayant les seconds aux premiers il saura inévitablement ceux qui ne lui ont pas été copains. CQFD. Malin, le <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">Cuistre</span></span>...</div><div>Après ça, lesdits pignoufs ayant obtenu gain de cause, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">le bon peuple passera aux votations pour transformer UN SEUL article de la Constitution,</span> justement celui qui concerne le mandat présidentiel. Pas mal, hein ? Et là, je te le donne en mille, qu'est-ce qu'on parie que les gens aimeront plus que jamais leur <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">Grand Mufti</span></span> ?</div><div>Pour ceux qui veulent en savoir plus, ne manquez pas de lire le site hautement informatif <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 102, 255);"><a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/12/le-point-sur-la-politique-vnzuelienne.html" target="_blank">ci-joint</a></span></span> inclus.</div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-38881869302886487502008-09-05T12:56:00.000-07:002008-09-24T07:07:20.787-07:00Les plages de Margarita<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfu1iPMN8ZDDY1X2w9r4y2Mi60mtZb7Yp7Rxlzy8fQ7fjeQdrb0rJLgFC-BXzCX23IwmngUGobSzEK4lPRrMOTP_Lfmwq2dSY4cbQ4qVaoNrO1iQMrDw0UK1iYHlZLEF54U2VMqVhCMGo/s1600-h/Vista.jpg"><img style="display:block; margin:0px auto 10px; text-align:center;cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfu1iPMN8ZDDY1X2w9r4y2Mi60mtZb7Yp7Rxlzy8fQ7fjeQdrb0rJLgFC-BXzCX23IwmngUGobSzEK4lPRrMOTP_Lfmwq2dSY4cbQ4qVaoNrO1iQMrDw0UK1iYHlZLEF54U2VMqVhCMGo/s320/Vista.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5242636494259335570" /></a><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhPj8x4j9qHB6II3Bl_69tRic0Kyk9ExF_clvTf3AnGBJKXFz5kq06FIK-D3U7ONns0TLB5Benr__rCkaORjJguCU_2ut18ofDRuKOKtpOKVoYoqVsUcsdE85b2iS4cLcDdORCrFqoAGlA/s1600-h/Palmiers.jpg"><img style="float:right; margin:0 0 10px 10px;cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhPj8x4j9qHB6II3Bl_69tRic0Kyk9ExF_clvTf3AnGBJKXFz5kq06FIK-D3U7ONns0TLB5Benr__rCkaORjJguCU_2ut18ofDRuKOKtpOKVoYoqVsUcsdE85b2iS4cLcDdORCrFqoAGlA/s320/Palmiers.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5242634239600158610" /></a><br /><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Les plages de Margarita... tout un roman! </span>Bien entendu, pas question d'affirmer ici que toutes sont infectes, sales et insalubres, mais force est de reconnaître que derrière le merveilleux décor de cartes postales que nous imposent <a href="http://margariteno.blogspot.com/2007/12/les-plages-de-margarita.html"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">les vendeurs de rêve</span></span></a>, certaines visions sont parfois... disons redoutables!<div><br /></div><div style="text-align: right;"><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjxUY5-Hhj4ToSoE3DhlL5PS0XoCfXmLwFjpvEbwJEqLNzy858vEH5RfSYKAKHGQ5ZbZ4vWRvAszq7ytLkQ0h3IWy7F0ziS6sK0F2-MBKYv9Ot25K2mEn-AbeREGRCqyZIyMmQNs4ZsNOo/s1600-h/Superbe.jpg"><br /></a></div>Bien sûr, comme dans tout paradis tropical digne du Venezuela,<span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"> les déchets trônent en maîtres,</span> histoire de rappeler que la société de consommation est le fer de lance de l'économie...<div><br /></div><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgrkBkNqW0VooaewP6eOMFQ2mFW1Fax-nKDwGenJgg1AelOXHczNOIv5DC0g4f7S0I7ZulLRP-am9iaKmulmb0QWOoFoEtIp36nv1BciII8X1LlXqOqu_B99W6WOvoh89MiIyJQU-yhJY/s1600-h/Sable.jpg"><img style="float:right; margin:0 0 10px 10px;cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjgrkBkNqW0VooaewP6eOMFQ2mFW1Fax-nKDwGenJgg1AelOXHczNOIv5DC0g4f7S0I7ZulLRP-am9iaKmulmb0QWOoFoEtIp36nv1BciII8X1LlXqOqu_B99W6WOvoh89MiIyJQU-yhJY/s320/Sable.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5242637229831035826" /></a>Idem pour les 4x4 qui sont fièrement exposés sur le sable, portières ouvertes, et <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">qui vocifèrent un merveilleux </span><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">reggaeton</span></span><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"> de 3000 watts,</span> pendant que les vacanciers se rincent le gosier avec du mauvais whisky et du cola bien sucré, histoire de faire passer les <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">empanadas</span> et leur litre de graisse saturée...<br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvIxkg5QzLoFYjS8xSiBlQMRw7Wh66PGic2gGIilmjT0l2iB9m_NQ2jmDxCWlea0kB_8PMIrl4KIQiMXp_At3XqxVkQEwf8wDInxz7gEnUKnkY2FFvz-S_7TL7He7iE-lGHDBF3eHwFPc/s1600-h/Tucarro.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgvIxkg5QzLoFYjS8xSiBlQMRw7Wh66PGic2gGIilmjT0l2iB9m_NQ2jmDxCWlea0kB_8PMIrl4KIQiMXp_At3XqxVkQEwf8wDInxz7gEnUKnkY2FFvz-S_7TL7He7iE-lGHDBF3eHwFPc/s320/Tucarro.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5242641014928347458" /></a><br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhfRsKqp0v_SzOz1W_lUE2QodD8g-MQcMBLqxFPRzKEFfrfhmD-gw24Y5tUdhALud6Sra_3B_0f1Dgo1ls8QUeGowSVnlxxvS6METnUOMu1a7BCmuexekx9E4InXpPBQoWdKkaHlC9lUu8/s1600-h/Bahia.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhfRsKqp0v_SzOz1W_lUE2QodD8g-MQcMBLqxFPRzKEFfrfhmD-gw24Y5tUdhALud6Sra_3B_0f1Dgo1ls8QUeGowSVnlxxvS6METnUOMu1a7BCmuexekx9E4InXpPBQoWdKkaHlC9lUu8/s320/Bahia.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5242638719464933762" /></a><br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgf00O3-UbTZtZh_nAdBhgwNBxQ-EJRNoXL7j0Tq6h82DtOfdIsOV8V2_ebCBC3cBTFru6zOzZhJ6zsB9Z7Y5fIcgFgDq6Dffrp6UYhA0Fz1dRLTdL_bVQSpP39YeUS9Kh9rM4M5eZowZ8/s1600-h/Wonderful.jpg"><img style="float:right; margin:0 0 10px 10px;cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgf00O3-UbTZtZh_nAdBhgwNBxQ-EJRNoXL7j0Tq6h82DtOfdIsOV8V2_ebCBC3cBTFru6zOzZhJ6zsB9Z7Y5fIcgFgDq6Dffrp6UYhA0Fz1dRLTdL_bVQSpP39YeUS9Kh9rM4M5eZowZ8/s320/Wonderful.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5242639138879731762" /></a><br /><br /><div><br /></div><div>Les routes sont joliment décorées de <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">bouteilles de bière, de Pepsi et de papiers gras...</span><br /></div><div><br /></div><div>... tandis que les abords des restos et des <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">posadas</span> sont <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">jonchés de poubelles éventrées par les chiens pendant la nuit.</span><br /></div><br /><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGlzSTX_gnqRudKDBK_kA2m2W4lkxSmrAHtgQHI4oboEUAjZiJaSLh84kIzUHPeW6qXj4q2AcLZ0-jSFEwPENp3mi82oWNodVvGvl2ZwwiWJV30CasqIHsIMCOAPTY38vsqSuzww6NEa4/s1600-h/Rilax.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEiGlzSTX_gnqRudKDBK_kA2m2W4lkxSmrAHtgQHI4oboEUAjZiJaSLh84kIzUHPeW6qXj4q2AcLZ0-jSFEwPENp3mi82oWNodVvGvl2ZwwiWJV30CasqIHsIMCOAPTY38vsqSuzww6NEa4/s320/Rilax.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5242641418554406978" /></a><img style="float:right; margin:0 0 10px 10px;cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh-N3JuX7wzixKx8b86-ycKdgx2zwx43OfuLw9-vKoMU_QTS-Lnk-P8zL_tVDzW-t14HbSOFTxtYSn4jKIbZJo-mikDmzgdp4D2HVazXbgwH0PqaI8ffLMpLT6wV0PXGc4Y2v8IQyI0fBM/s320/Superbe.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5242641967438029602" /><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 0); ">Avec beaucoup de chance, les mecs auront passé un coup de balai avant l'arrivée des touristes, mais rien n'est moins sûr!</span><div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div>Et pour la bonne bouche, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">qu'en pensent donc les touristes ?</span> </div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0); font-weight: bold; ">Réponse ci-dessous de la part d'un habitant de Tenerife:</span><br /></div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">«Soy de Canarias, he viajado bastante y creo conocer lo que es turismo con un mínimo de calidad.</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic; ">Estuve en Margarita y que pena de Isla (comparado con Canarias por ejemplo no le llega a la suela del zapato ni en belleza, ni en nada). </span><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic; font-weight: bold;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">Si quieres viajar al Caribe elige otro destino que merezca la pena.</span></span><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">Lo siento por los Venezolanos, bastante tienen con la miseria que estan pasando a pesar de los recursos que tienen.</span><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">En la isla, si tuviera un minimo de atención cuidado y limpieza no estaría tan mal. Hace 20-30 años a lo mejor era un buen destino turístico. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">En la actualidad esta derruida, calles y playas sucias (no hay contenedores) aunque eso si, la gente bien y buena seguridad si tienes cuidado. </span><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">En cuanto a los hoteles merecen un capítulo aparte:</span></span><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"> Después de buscar mucho y ver lo poco que había nos quedamos en el H. Hesperia Isla Margarita. 5 estrellas. El que le dió la calificación debía estar borracho, se le caen 2. Buenas instalaciones, eso sí, pero adivinen, hotel sucio, habitaciones amplias pero nula limpieza. Si mueves la cama a lo mejor encuentras un muerto y por los cristales </span><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">no se vé de la mierda que tienen. </span></span><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">En recepción si ponen dos porteros automáticos no se notaría la diferencia. Los recepcionistas no te explican nada y al parecer, están sordos, todos los días hay que bajar a reprogramar las tarjetas de la habitación. Spa en reformas.</span><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"> Incomunicación total, los telefonos públicos instalados no funcionan.</span></span><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"> Preguntamos el primer día y nos respondieron "ya lo reportamos" nos fuimos sin poder comunicar desde el hotel. Y eso que yo busqué lo supuestamente mejor y por cierto, pagamos un dineral para unos servicios pésimos. Eso sí, es justo decirlo, la comida del hotel excelente. Peor lo pasaron unos conocidos chicharreros se quedaron en el Hotel Flamingo Villas ¿4 estrellas?. Fuimos a verlo y aquello, era un barracón del ejercito, sin ventanas, aire acondicionado ruso, el comedor en el hall y la comida con moscas y demas bichos cotidianos. Baños tipo chiquero de cerdos y no sigo. La pobre mujer se gastó una pasta para encontrarse con aquello así que se quería venir el primer día. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">En resumen busquen otro sitio para sus vacaciones.</span></span><br /></div><div style="text-align: right;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0); font-weight: bold; ">Étonnant, non ?</span><br /></div></div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com4tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-90961962451116546492008-08-22T10:14:00.000-07:002008-08-22T10:26:11.867-07:00Vidéo sur le Venezuela<span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Superbe vidéo<br /></span><a href="http://www.blogger.com/%3Cobject%20width=" height="344"></a><param name="movie" value="http://www.youtube.com/v/P-BqjNeJp-w&hl=en&fs=1"><param name="allowFullScreen" value="true"><embed src="http://www.youtube.com/v/P-BqjNeJp-w&hl=en&fs=1" type="application/x-shockwave-flash" allowfullscreen="true" width="425" height="344"></embed><div>C'est moins touristique que chez <a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/08/vido-sur-le-vnzuela.html"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">certains</span></span></a>, mais c'est aussi une réalité locale... Pas vrai?</div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com10tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-70546537150237768972008-08-12T12:13:00.001-07:002008-08-12T12:40:56.685-07:00Les Jeux olympiques vus du Venezuela<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfNyRmBf1kh5vVt50zVhM-oNLciz12Vj3bWYnBPWfu5X9Smsy-E-zAXuU9LMa5fpqCIBk2uh2o_Y51FjagnSasuHrgCuzCo_J4EUqIrOt_wuudM2zJUFMuzMewi2RhLmeI1nqEt8WUHRQ/s1600-h/bejing_olympics_2008.gif"><img style="cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgfNyRmBf1kh5vVt50zVhM-oNLciz12Vj3bWYnBPWfu5X9Smsy-E-zAXuU9LMa5fpqCIBk2uh2o_Y51FjagnSasuHrgCuzCo_J4EUqIrOt_wuudM2zJUFMuzMewi2RhLmeI1nqEt8WUHRQ/s320/bejing_olympics_2008.gif" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5233715754521514290" /></a><br /><div>Il y a <a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/08/les-jeux-olympiques-vus-du-vnzuela.html"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">semble-t-il</span></span></a> quelques difficultés à voir les épreuves des JO depuis le Venezuela... Eh bien tant mieux! </div><div>Regarder ces crétineries est déjà en temps normal assez déplorable en soi, étant donné le bourrage de crâne publicito-économico-décérébro y afférent, mais lorsque <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">les épreuves se déroulent dans un pays qui foule au pied les plus élémentaires droits de l'homme,</span> au vu et au su de tout le monde, ça confine à la plus imbécile des attitudes moutonnesques si chères aux peuples dits civilisés. Cerise sur le gâteau: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Internet, télé et presse écrite sont royalement censurés depuis Pékin,</span> tandis que les athlètes et le public sont instamment priés de fermer leurs grandes gueules et de garder le sourire. Attention, vous êtes filmés, faudrait pas que ça vous donne envie d'en profiter... <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Quant à la grand-messe du sport dopé par le fric, la came et la bêtise,</span> qu'elle continue de fermer les yeux au nom du légendaire et égocentrique <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">The show must go on...</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">Quoi, quoi?</span></span> Ah oui... on est des imbéciles vilains empêcheurs de se distraire en rond. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Bon, on en parlera aux Tibétains génocidés depuis cinquante ans</span> avec l'aval des grands manitous du monde entier, trop heureux de pouvoir continuer de commercer avec les Chinetoques.</div><div>Finalement, les jeux du cirque romains avaient au moins l'avantage d'annoncer clairement la couleur: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">d</span><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">istraire le public de ses problèmes quotidiens pour les empêcher de trop gueuler,</span> quitte à vendre pour ça du sang et de la souffrance!<br /></div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com5tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-76488497358416315452008-08-05T07:00:00.000-07:002008-08-05T09:52:30.678-07:00Vivre sur l'île de Margarita<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUQKKYbPTcDZbUk9oDVr5rEfu4F0m1SfaKIj5u-QOcLfTsK9zHIukdOOZyIZflmKm1EnNX94PU51JiuEVv24fVx5_mu6YbOFgxFaLnXUMByXOt_zt1Rr4Smih1HdfVQ5x4NhiMz3kZWq8/s1600-h/Image+Sat.jpg"><img style="cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgUQKKYbPTcDZbUk9oDVr5rEfu4F0m1SfaKIj5u-QOcLfTsK9zHIukdOOZyIZflmKm1EnNX94PU51JiuEVv24fVx5_mu6YbOFgxFaLnXUMByXOt_zt1Rr4Smih1HdfVQ5x4NhiMz3kZWq8/s400/Image+Sat.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5231058776341738882" /></a><br /><div>En définitive, il est très facile de vivre à Margarita. Du moins en apparence. Car si les gens comme le mode de vie sont plutôt relax, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">les problèmes n'apparaissent que bien plus tard.</span> Il n'est pas question, ici, de prétendre à la science infuse (contrairement aux allégations gratuites de <a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/08/vivre-sur-lle-de-margarita.html"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">certaines personnes,</span></span></a> <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">qui, elles, ont tout à vendre et donc tout intérêt à ne présenter que le beau côté du décor</span></span>), mais force est de reconnaître que <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">certaines vérités sur la vie locale sont bien peu publiées</span> sur le Web, où les sites à but commercial et les blogs gentillets trustent les serveurs. C'est bien dommage et surtout ça fausse le jugement des gens qui vont venir habiter l'île sur les bons conseils des précédents cités. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Pourtant, on ne compte plus les rêveurs qui sont venus s'installer à Margarita et qui sont repartis la queue entre les jambes, parfois en ayant tout perdu.</span> Et la principale cause de ces méchantes désillusions, il faut le dire, est que ces gens ont été mal informés, soit par de réels escrocs soit par des <a href="http://margariteno.blogspot.com/"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">inconscients</span></span></a> qui croyaient certainement bien faire en dissimulant les côtés les plus pénibles de la vie margaritegnotte.<br /></div><div><br /></div><div>Bien sûr, les Vénézuéliens, avec leur sens de l'honneur mal placé mais à fleur de peau, ne peuvent que tomber d'une crise d'apoplexie lorsqu'ils lisent noir sur blanc certaines vérités sur leur beau pays – <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">après tout, au Venezuela, si l'on en croit les autochtones, chacun est </span><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">muy responsable</span></span><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">...</span> faut quand même l'entendre de la bouche d'un Venez pour y croire! Mais les étrangers... sont-ils si benêts qu'ils croient qu'à leur arrivée ici il n'y aura plus qu'à s'acheter une jolie maison, se dorer la pilule sur la plage en contemplant les merveilleux culs rebondis de ces dames et les non-moins fabuleux couchers de soleil ? Dans ce cas, c'est bien triste pour eux, mais <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">viendra indéniablement un jour où ils prendront la réalité dans les dents,</span> et là, faudra pas venir pleurer que c'est tous des méchants et des profiteurs...</div><div><div><br /><div>Comme on s'en doute, et comme partout, la première approche du pays est la plus facile, <span class="Apple-style-span" style="">à l'heure où le frais expatrié vit encore sur ses illusions et n'a pas encore été réellement confronté aux difficultés locales.</span> Ensuite, après une première année où il a généralement commencé à se frotter<span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"> </span><span class="Apple-style-span" style=""><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">aux pénuries alimentaires, aux coupures de courant, au rationnement de la flotte, aux services inexistants, aux administrations inefficaces, aux cliniques surbondées et sans rendez-vous, aux constructeurs incompétents, au climat insoutenable, aux comptables véreux, aux avocats menteurs, aux autochtones profiteurs, aux flics racketteurs, aux voyous sans cesse aux aguets, aux étrangers arnaqueurs, aux mécaniciens branleurs, aux </span></span><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"><span class="Apple-style-span" style=""><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">condominios</span></span></span><span class="Apple-style-span" style=""><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"> chamailleurs, aux voisins hurleurs, aux véhicules pollueurs, aux taxis tricheurs,</span></span> on en passe et des meilleures, alors là, oui, <span class="Apple-style-span" style="">il commence à se demander si le jeu en vaut vraiment la chandelle.</span> </div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Quotidien:</span></div><div>Bien sûr, la vie peut être très belle à Margarita. Comme partout, avec de l'argent, il y a le soleil et la mer en plus... Chacun peut y faire son trou, avec un minimum d'investissement, beaucoup de chance et pas trop de galères. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Mais il faut savoir que rares seront les élus. </span>Prétendre, comme le font <a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/08/vivre-sur-lle-de-margarita.html"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">certains</span></span></a> (<span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">pour ne pas effrayer le futur client</span></span>), qu'il y a plus d'arrivées d'expatriés dans l'île que de départs est totalement faux. Simplement, il faut prendre un peu de recul pour s'en apercevoir. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Sur deux ou trois ans, sur cinq ans, combien sont encore là?</span><br /></div><div>Prenons les quelques blogueurs francophones les plus actifs au Venezuela et observons: à une exception près (le crucifix québécois, qui n'est d'ailleurs pas dans l'île), tous ne sont ici que depuis deux ou trois ans, quand ce n'est pas moins. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Revenons voir dans quelque temps pour contempler les dégâts... </span>Certains sont restés ici 15 ans, voire 20 ou plus, parce qu'ils n'avaient plus la possibilité de partir ou qu'ils voulaient rester pour une raison ou une autre (profession, famille, retraite, etc.), mais de toute façon, combien sont-ils aujourd'hui? Une petite poignée répartis dans tout l'île, pas plus. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Si la migration était si exponentielle que ça, il y aurait 2000 expatriés français de 20 ans dans l'île, et non pas seulement une petite dizaine !</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="">En outre, à nouveau méfiez-vous des allégations commerciales des <a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/08/vivre-sur-lle-de-margarita.html"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">partisans</span></span></a> du système de l'autruche: </span><span class="Apple-style-span" style="">par exemple, d'après eux, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">il suffirait d'un peu de sucre planqué dans un placard pour faire dignement face aux pénuries alimentaires ???</span> Eh ben ça doit pas faire longtemps qu'ils vivent sur l'île, ces zozos-là... Le lait a manqué durant toute l'année dernière, ainsi que le PQ, avant ça c'était l'huile, ou le sucre, ou le sel, ou la farine, ou le café, puis le riz, les pâtes, la viande, le poulet, parfois le tout en même temps et pour des durées variables allant de quelques semaines au mieux à quelques mois. La chose est chronique, récurrente et ingérable. Et puis non, ce n'est pas parce que nous sommes dans une île que nous souffrons continuellement d'un manque parfois cruel d'approvisionnement, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">mais seulement, encore et toujours, parce que le laxisme des autochtones est tel qu'il paralyse tout ce qu'il touche. </span>Préférez largement la vision de <a href="http://www.electrophil.fr/ma_vision/faire_ses_courses.php"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">cet autre visiteur</span></span></a>, qui, pourtant n'a pas eu besoin de passer 50 ans dans le pays pour voir la réalité telle qu'elle est!</span></div><div>Quant à l'explication de Chavez, qui prétend que les pénuries sont dues aux manquements du secteur privé, elle est totalement fausse, puisque même dans les <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">Mercal</span>, les magasins approvisionnés en parallèle par le système chaviste, les manques sont identiques...</div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Population:</span></div><div>Les Vénézuéliens sont gentils, on l'a déjà dit. Ils sont aussi opportunistes et branleurs, voleurs et menteurs, irresponsables et bruyants, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">comme il est littéralement impossible de l'imaginer pour un Européen standard.</span> Si personne n'est parfait – parlons donc de nous: sales, impolis, bidouilleurs et mesquins – il faut toutefois reconnaître que le mode de vie d'un Latino-américain, d'un Vénézuélien en particulier et d'un Margariteño<span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"> a fortiori,</span> est aux antipodes de celui d'un Français ou d'un Allemand. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Ce n'est pas un jugement, c'est un constat.</span> Dès lors, il faut savoir où l'on met les pieds et toute la difficulté est là... Vivre au jour le jour, comme on dit vulgairement, entraîne des conséquences insoupçonnables lorsqu'on n'y a pas été habitués: irresponsabilité, inconséquence, je-m'en-foutisme, etc. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Vu de l'extérieur, c'est exotique et presque rigolo... De l'intérieur, en revanche, c'est le stress garanti</span><span class="Apple-style-span" style="">, tant tout devient impossible ou problématique. </span></div><div><span class="Apple-style-span" style="">Essayer de prévoir, d'anticiper, de prévenir ou de simplement s'organiser dans un pays où le système est entièrement tourné dans l'instant présent, assure des ulcères gangréneux pour le restant de ses jours à tout Européen normalement constitué. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Celui qui ne le sait pas encore l'apprendra tôt ou tard. </span>Bon, allez, encore <a href="http://www.electrophil.fr/ma_vision/sante.php"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">un petit lien</span></span></a> sur le gars qu'a tout compris en pas longtemps... ça vaut quand même le détour!</span></div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 153, 0);">Tiens, un jour que Dieu était en pleine création du monde</span></span><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 153, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"> et s'affairait autour du Venezuela, le bon Saint-Pierre vient à passer par là et lui dit:</span></span></div><div>- Dis donc, croyez pas que vous exagérez un peu, là?</div><div>- Comment ça ? lui répondit Dieu.</div><div>- Ben oui, regardez-moi ça... Y en a que pour ce coin, là. Vous pouvez quand même pas tout mettre au même endroit !</div><div>- Mais si, tu verras, ça va aller.</div><div>- Non mais quand même, c'est pas croyable ! Répondit Saint-Pierre. La mer, les montagnes, le soleil, la forêt, les fleuves, la faune, la flore... sans parler de l'or, du pétrole, de l'argent, de l'asphalte, du gaz... Bordel, y vont tout pouvoir faire, avec ça, ce sera les maîtres du monde en moins de deux! </div><div>- Oui, d'accord, mais tu n'as pas encore vu les mecs que je vais y mettre...</div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Travail:</span></div><div>Pour schématiser, tout étranger qui s'installe à Margarita comprend assez vite qu'il n'est pas possible d'y être salarié et de se préserver le mode de vie auquel il est habitué. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Il lui faudra donc se façonner sa petite activité indépendante. Et là, surprise: rien ne marche...</span> La faute aux autochtones, qui ne sont intéressés par rien d'autre (ou si peu) qu'à leurs bonnes vieilles habitudes: à part vendre des <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">empanadas</span>, de la bière ou faire de la mécanique (et aux mêmes prix que les locaux, bien sûr), bonjour les rentrées de pognon...<br /></div><div>Reste donc le tourisme, vu que le secteur, pour un expatrié, concerne les étrangers et leurs euros. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Du coup, 95% des expatriés visent le même créneau,</span> ce qui n'est pas idéal pour le business, faut bien l'avouer. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Après, il y aura encore les démarches administratives,</span> qui finiront de détruire le beau moral du jeune Franchouillard qui se voyait déjà vivre comme un pape dans les Caraïbes... Les mieux lotis, on l'a déjà dit, ce sont les rentiers, qui peuvent se passer une agréable retraite sans se prendre la tête avec le boulot.</div><div>Quant à la nécessité de parler le castillan, comme dit <a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/08/vivre-sur-lle-de-margarita.html"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">l'autre</span></span></a>, faut pas se leurrer: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">ici, c'est pas autre chose que du <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">margariteño</span>,</span> qu'ils causent, et vous aurez tôt fait de vous apercevoir que parler de l'espagnol pur beurre ne vous servira pas à grand chose. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">L'idéal, c'est d'apprendre sur le tas, à la manière autochtone.</span> Il faut tout de même savoir que l'espagnol d'Amérique est déjà différent de celui d'Europe, d'une manière générale. Ensuite, en dehors des accents spécifiques, il y a les régionalismes propres à chaque pays latino, puis au sein même du Venezuela un <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">Margariteño</span> ne parle pas comme un <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">Caraqueño</span> de Caracas ou un <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">Maracucho</span> de Maracaïbo. Outre les spécialités locales, il y a encore les mots détournés de leur sens d'origine, les mots corrects mais pas utilisés dans le même contexte, les mots importés directement de l'anglais, ou <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">déformés</span> par l'anglais, puis les "blancs" du Scrabble, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">les mots passe-partout que les gens utilisent pour remplacer à peu près tout </span>et qui rendent la conversation impossible pour un non initié, même hispanophone:</div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 153, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">- Comotalavaïna, e la cuestión de la broma lita?</span></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 153, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">- Comono... cheverré. Seguro te aviso, todo normal</span></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 153, 0); font-style: italic;">- Oké, perfecto, ablamo. Tchaopué</span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 153, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-style: normal;">Notons que </span></span>Ténécanéo</span> </span>voudra dire <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">Tiene un escaneo?,</span> par exemple, alors que<span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 153, 0);"> <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">atadehpého</span> <span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 0);">signifiera <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">Atras del espejo.</span> </span><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 0); ">Après ça on ne prononce pas les "s", le débit verbal égale celui d'un supersonique atteint de la courante, le passé n'est presque jamais employé, etc. Bien du courage à celui qui parle le castillan...</span></span></div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Avis personnel:</span></div><div>Aucun. Laissons cela à d'autres. <span class="Apple-style-span" style="">Pour une fois, on sera du même avis que les cuistres qui nous entourent:</span><span class="Apple-style-span" style=""> </span><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">à chacun de se faire sa propre opinion. </span>Simplement, cessons de planquer la merde au chat sous le tapis, les relents nauséabonds qui ne manqueront pas de venir titiller les narines des plus sensibles occasionnent généralement des réveils difficiles...<br /></div></div></div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com9tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-30115736689014846492008-08-04T06:02:00.000-07:002008-08-04T10:26:20.227-07:00Drame à Margarita<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEikt3aOrKBIUwesGvsg7Sm3Uyygq-KuiinjDUE2gZwoBIkXtTT7zevxugJiksMq13AIzVRBBwrNCv7-4sXriIArhCfHuABSXKCiBjdjslTPfzB78kvyAzTsJWAQIlPjIRVgvyhh0vBq_aw/s1600-h/Seneca.jpg"><img style="cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEikt3aOrKBIUwesGvsg7Sm3Uyygq-KuiinjDUE2gZwoBIkXtTT7zevxugJiksMq13AIzVRBBwrNCv7-4sXriIArhCfHuABSXKCiBjdjslTPfzB78kvyAzTsJWAQIlPjIRVgvyhh0vBq_aw/s320/Seneca.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5230648129873236418" /></a><br />Il semblerait bien, à lire <a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/08/drame-margarita.html"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">certains blogs</span></span></a> bien informés, que <span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">depuis plusieurs jours</span></span> de fréquentes coupures d'électricité viennent assombrir les jours heureux des Margaritaños. Ce n'est certes pas drôle mais il convient tout de même de préciser que si <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">la formidable attitude moutonnesque des autochtones</span> ne venait pas cautionner cette pratique, "courante" (jeu de mot) dans l'île, il y a belle lurette que ces enfoirés aux manettes des coupe-jus se seraient calmés...<div>Autre précision d'importance, ces coupures de courant se font <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">au mépris total de la population,</span> à n'importe quelle heure du jour et de la nuit, sans avis préalable et pour des durées chaque fois différentes, empêchant par là-même toute anticipation et toute organisation. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Il n'est pas rare qu'elles surviennent plusieurs fois par jour,</span> avec parfois juste 5 minutes d'intervalle entre deux, histoire d'occasionner quelques sympathiques fausses joies. Il n'y a plus qu'à subir et, encore une fois, fermer sa gueule, ce que les habitants de l'île font remarquablement bien, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">avachis dans leurs chaises le long des routes en attendant gentiment que ça revienne!</span></div><div>La question de savoir si la chose est politique ne se pose qu'à des <a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/08/drame-margarita.html"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">esprits naïfs</span></span></a> et fraîchement arrivés dans ce paradis tropical: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">à chaque élection, à chaque référendum, en effet, les coupures augmentent drastiquement</span><span class="Apple-style-span" style=""> (ce qui ne veut pas dire qu'il n'y en a pas le reste du temps), </span>faisant ainsi grimper l'insatisfaction et espérer que les gens se bougeront enfin pour faire changer les choses. Bien entendu, avec la nationalisation du secteur ça ne fait qu'empirer. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Car de toute évidence, c'est l'opposition qui pratique généralement ce type de politique,</span> mais ça n'empêche pas les Margariteños de s'en prendre au régime de Chavez. Pourquoi? Ben... parce que quand il n'y avait pas Chavez, il n'y avait pas l'opposition, et donc pas de problème! Réponse recueillie de vive voix auprès d'un panel représentatif d'indigènes...</div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Précisons encore, pour ceux qui ne sont pas coutumiers de la vie dans l'île,</span> que panne d'électricité veut dire pas de lumière, certes, mais pas non plus de TV, d'ordinateur, de clim' (sympa quand on se tape un petit 40° à l'ombre), de cuisinière pour la bouffe, lorsque celle-ci a le malheur de n'être pas au gaz, et généralement pas d'eau vu que celle-ci est puisée dans le tank par une pompe à eau... Plus de système d'alarme, pour ceux qui en ont, et plus de portail électrique pour sortir sa tuture pour aller bosser. Cool, la vie sous les palmiers!</div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 153, 0);">Maintenant, pour la bonne bouche, </span></span>et pour démontrer qu'effectivement, <span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">depuis plusieurs jours,</span></span> les coupures se multiplient, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">voici la liste fournie par un expatrié des environs,</span> qui a eu la bonne idée de noter scrupuleusement (avec tranches horaires entre parenthèses et en rouge quelques jolis records) toutes les fois où ces messieurs de la Seneca ont fait mumuse avec le courant dans son bled du centre de l'île cette dernière année. Et qu'on se rassure, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">ce n'est ni la rupture d'un câble sous-marin, ni les intempéries ici ou là, ni des pannes accidentelles qui ont causé ces coupures,</span> il suffit d'observer la précision des heures de <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">black out </span>– de 21h. pile à 22h pile, par exemple – pour s'en convaincre!<div><ul><li>Lundi 30 juillet 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">2h</span>. (10-12) + <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.30</span> (12-13) + <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.30</span> (14-15);<span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"> total: 5h.</span></span><br /></li><li>Jeudi 02 août 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.30</span> (12-13) + <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">45’ </span>(13-14); <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">total: 2h.15</span><br /></li><li>Lundi 06 août 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (10-11) + <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.30</span> (12-13) + <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (14-15); <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">total: 3h.30</span></span><br /></li><li>Mardi 07 août 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">30’</span> (09-10)<br /></li><li>Mercredi 15 août 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (09-10)<br /></li><li>Dimanche 19 août 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">2h.45</span> (06-09)<br /></li><li>Mardi 29 août 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (19-20)<br /></li><li>Mercredi 05 septembre 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (12-13)<br /></li><li>Mardi 11 septembre 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (14-15)<br /></li><li>Samedi 15 septembre 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">30’ </span>(07-08)<br /></li><li>Lundi 01 octobre 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">30’</span> (16-17)<br /></li><li>Mardi 02 octobre 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (17-18)<br /></li><li>Jeudi 04 octobre 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">45’</span> (05-06)<br /></li><li>Samedi 06 octobre 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">45’</span> (15-16)<br /></li><li>Mercredi 17 octobre 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.30</span> (13-15)<br /></li><li>Vendredi 19 octobre 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (14-15)<br /></li><li>Mercredi 30 octobre 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (14-15)<br /></li><li>Mercredi 07 novembre 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">30’ </span>(20-21)<br /></li><li>Vendredi 16 novembre 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">30’</span> (15-16)<br /></li><li>Dimanche 18 novembre 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (09-10)<br /></li><li>Mercredi 05 décembre 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">55’ </span>(22-23)<br /></li><li>Mercredi 12 décembre 2007: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">45’ </span>( 20-21)<br /></li><li>Vendredi 15 février 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">3h.</span></span><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"> </span>(06-09)<br /></li><li>Samedi 21 février 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">55’ </span>(18-19)<br /></li><li>Dimanche 22 février 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">5h.</span></span><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"> </span>(07-12);<span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"> pas mal, celle-là...</span></span><br /></li><li>Lundi 24 mars 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.45</span> (15-17)<br /></li><li>Mardi 08 avril 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.30</span> (09-10)<br /></li><li>Jeudi 10 avril 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">2h.</span> (14-16)<br /></li><li>Dimanche 13 avril 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">2h.50</span> (08-11)<br /></li><li>Vendredi 25 avril 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (12-13)<br /></li><li>Samedi 26 avril 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (10-11)<br /></li><li>Mardi 29 avril 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">2h.30</span> (16-18)<br /></li><li>Mardi 06 mai 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.20</span> (14-16)<br /></li><li>Mercredi 07 mai 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.30</span> (13-14)<br /></li><li>Mercredi 24 mai 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">30’ </span>(10-11)<br /></li><li>Vendredi 30 mai 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">45</span><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">’</span> (20-21)<br /></li><li>Samedi 07 juin 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (08-09) + <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (21-22) + <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (23-24);<span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"> total: 3h.</span></span><br /></li><li>Lundi 09 juin 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">30’ </span>(20-21)<br /></li><li>Jeudi 12 juin 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">4h.30</span></span> (04-10); <span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">jolie aussi...</span></span><br /></li><li>Dimanche 15 juin 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (19-20)<br /></li><li>Lundi 16 juin 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">2h.</span> (12-14) + <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">30’ </span>(19-20); <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">total: 2h.30</span><br /></li><li>Mardi 25 juin 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (05-06)<br /></li><li>Jeudi 11 juillet 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (10-11)<br /></li><li>Samedi 13 juillet 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">6h.30</span></span> (06-13); <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">on doit pouvoir faire mieux...</span></span><br /></li><li>Lundi 14 juillet 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">3h.</span></span><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"> </span>(07-10)<br /></li><li>Mercredi 16 juillet 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">30’ </span>(18-19)<br /></li><li>Vendredi 18 juillet 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (15-16)<br /></li><li>Lundi 21 juillet 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (13-14) + <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">30’ </span>(15-16); <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">total: 1h.30</span><br /></li><li>Mardi 22 juillet 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">45’</span> (15-16)<br /></li><li>Samedi 26 juillet 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.30</span> (06-09)<br /></li><li>Lundi 28 juillet 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.30</span> (12-14) + <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.30</span> (21-23); <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">total: 3h.</span></span><br /></li><li>Mardi 29 juillet 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (21-22)<br /></li><li>Jeudi 31 juillet 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">2h.</span> (16-18)<br /></li><li>Vendredi 01 août 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">30’ </span>(13-14) + <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.</span> (16-17); <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">total: 1h.30</span><br /></li><li>Samedi 02 août 2008: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">1h.30</span> (22-24)<br /></li></ul></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Amusant, non?</span></span></div><div>Et pour les décérébrés (Venez ou non) qui ne manqueront pas de publier ici des amabletés du genre <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">"rentrez chez vous si ça ne vous plaît pas",</span> on précisera que ce n'est pas parce qu'ils peuvent aller se goberger au <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">Sambil</span> tous les week-end en frimant au volant de leur 4x4 rutilant et en se bourrant de mauvais whisky (connaissent même pas le pur malt) qu'ils sont dans un pays civilisé... <span class="Apple-style-span" style="">Pour qu'un jour le Venezuela cesse de figurer dans la liste des bourbiers du bas tiers-monde, faudra d'abord que sa population se sorte les pouces du cul,</span> soit dit sans animosité aucune, bien sûr! <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Car ce n'est certes pas un manque de moyens qui fait du Venezuela un pays inconfortable à bien des égards,</span> ce n'est que le laxisme de ses ressortissants, incapables de se prendre en charge et de relever leurs manches. </div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><br /></span></div><div>Et pour ceux qui n'y croient pas, qu'ils demandent seulement à des Colombiens, des Écuatoriens ou des Brésiliens ce qu'ils pensent des Vénézuéliens... ils constateront qu'il n'y a pas que de vilains expatriés français à observer d'un œil critique ces rois du je-m'en-foutisme et de la fénéantise! <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Triste réalité, mais réalité quand même...</span></div></div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-41221316484182448812008-07-31T08:57:00.000-07:002008-07-31T09:37:41.820-07:00Campagne des élections régionales au Venezuela<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNCIet3X6K7gvSdvc5KI1bJdtU2Xhr6frM-f5npJHzuzSuwWQlLMrSSfmPREg2OzX1S-YYI5QZem6pP3oEAC35RB3NvpIACV_4qur1gsD407W0tTJopb1Jl2aLF7Pj4_jHKHuy_h078yg/s1600-h/Presidente.jpg"><img style="cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhNCIet3X6K7gvSdvc5KI1bJdtU2Xhr6frM-f5npJHzuzSuwWQlLMrSSfmPREg2OzX1S-YYI5QZem6pP3oEAC35RB3NvpIACV_4qur1gsD407W0tTJopb1Jl2aLF7Pj4_jHKHuy_h078yg/s320/Presidente.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5229209686024710674" /></a><br /><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Etant donné les stupidités qui se disent ici ou là</span> dans les médias occidentaux sur le Venezuela et le chavisme en particulier, il n'est pas inutile que <a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/07/campagne-des-lections-rgionales-au.html"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">certains blogueurs courageux</span></span></a> prennent sur eux d'offrir un aperçu de la situation depuis l'intérieur du pays.<div>On ne reviendra certainement pas sur le bienfondé ou non du chavisme, mais on soulignera cependant quelques points qui méritent d'être relevés (on se fera insulter par certains, mais c'est pas grave):</div><div>- <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Hugo Chavez a incontestablement fait et continue de faire beaucoup pour le pays. </span>Rien à dire là dessus, ceux qui parlent sans savoir d'une dictature vénézuélienne n'ont jamais visité les geôles de Pinochet ou de Staline... Pour rappel, la première chose que fait un régime totalitaire est de museler la presse et d'empêcher la liberté d'expression. Or au Venezuela, l'opposition détient tous les médias privés et hurle plus que n'importe où ailleurs son dégoût du président... Drôle de dictature!</div><div>- Le président vénézuélien a soi-disant entamé <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">une dérive vers une politique type Cuba.</span> Moui, c'est probablement vrai, ici le "tout à l'État" se développe à grande vitesse et des directives <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">a priori</span> positives, comme la <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">Ley seca,</span> – interdiction de vente d'alcool pendant les fêtes, officiellement destinée à diminuer les accidents de la route dus à l'ébriété –,<span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"> le projet de censurer les médias et Internet</span> afin de protéger la population des inepties qui s'y diffusent, ou celui d'interdire les strings pour les nanas sous prétexte qu'ils portent atteinte à la morale et à l'honneur de la femme, ou encore d'imposer une seule voiture par foyer par solidarité, commencent <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">gentiment mais sûrement à empiéter sur le terrain des libertés individuelles.</span> A surveiller de près, donc. </div><div>- <span class="Apple-style-span" style="">L'échec du référendum de décembre 2007</span> a été le signe clair donné au président qu'il avait atteint les limites de ce que le peuple vénézuélien était prêt à accepter en matière de réformes. Preuve en sont les milliers de grafitis disant <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">"OUI au chavisme <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">MAIS </span>NON à la réforme"</span>, indiquant par là-même l'émergence d'une nouvelle branche d'un chavisme "modéré".</div><div>- Depuis son accession au pouvoir, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Chavez a efficacement lutté contre la corruption,</span> il suffit de voir le nombre d'obstacles qui se dressent maintenant sur la route des expatriés pour obtenir des papiers officiels, alors qu'il y a seulement quelques années il suffisait de payer pour obtenir à peu près n'importe quoi. Le revers de la médaille, en revanche, c'est que dans nombre de situations <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">le système de corruption ne fonctionne plus mais que rien d'efficace ne l'a remplacé.</span> En pratique, si on ne peut presque plus obtenir une <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">cédula</span> de complaisance (une vraie de vraie s'entend, avec enregistrement dans le système, etc.) il est tout aussi impossible de l'obtenir en allant pointer à l'Onidex. Le grand danger de la chose, c'est que comme <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">le Venezuela occidentalise dangereusement ses méthodes de contrôle,</span> par exemple en informatisant les registres notariaux afin de vérifier les possessions de chacun, il fait ainsi planer de tristes représailles sur ceux qui ont le malheur de n'être pas en règle... Et comme se mettre en règle reste l'une des choses les plus difficiles dans le pays, des jours sombres se préparent pour dans pas longtemps!</div><div>- <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Est-ce que les mesures de Chavez auront de réelles répercussions positives au Venezuela?</span> Permettons-nous d'en douter! Pourquoi? Simplement parce que la force d'inertie du peuple est telle qu'il ne suffit pas de donner l'accès gratuit aux écoles pour que les enfants s'y précipitent... Il est tellement plus simple de ne rien faire! En conséquence, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">le mode de vie vénézuélien qui consiste à tout attendre d'un État providence,</span> et que Chavez alimente à coup de subventions, risque bien d'engluer pour toujours les meilleures intentions du monde.</div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-68344771109435882152008-07-29T08:33:00.000-07:002008-07-29T09:47:17.785-07:00Transports publics à Margarita<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbI0O3rwpSyMsWWcunWd49JVfvEmyO5ZwZdAaZMd2-f3W2Aca1hKIivsvimFzBMXtr3fl86Eiyhe8da5ijJKgaTmRvOvKpYsSsuqcmGjwbV4WEqXR-GC48rkeeoFDArRS9R2gAiEgPpCE/s1600-h/Voiture.jpg"><img style="cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjbI0O3rwpSyMsWWcunWd49JVfvEmyO5ZwZdAaZMd2-f3W2Aca1hKIivsvimFzBMXtr3fl86Eiyhe8da5ijJKgaTmRvOvKpYsSsuqcmGjwbV4WEqXR-GC48rkeeoFDArRS9R2gAiEgPpCE/s320/Voiture.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5228478579366381346" /></a><br /><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Les transports en commun, à Margarita, faut vraiment avoir envie:</span> la chaleur y est indescriptible, les gens amassés comme des pilchards en multipacks, les arrêts fixes indéchiffrables à moins d'être natif du coin, la lenteur aussi exaspérante qu'une course de côte entre gastéropodes apathiques.<br /></div><div>Comme nous le précise notre <a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/07/transport-public-margarita.html"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">inégalable ami</span></span></a>, il existe sur l'île plusieurs types de transports en commun:<br /><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Les minibus qui sillonnent l'île de part en part sont la principale cause des bouchons, de la pollution et du bruit. </span>Hyperbondés, ils sont conduits par des malades mentaux qui jouent autant des coudes que de l'avertisseur et qui prennent les <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">pueblos</span> pour les lignes droites d'Indianapolis. Carburant à pas loin de 50 litres au cent de gasoil enrichi, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">ils soufflent leurs vapeurs nauséabondes </span>partout où ils passent, et de préférence dans la gueule des piétons qui ont le malheur de se trouver à moins de 300 mètres. Rois de la route, ils s'arrêtent sans cesse au beau milieu de la chaussée pour laisser monter et descendre leur clientèle et <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">bloquent la circulation dès qu'ils peuvent.</span> Le coeur de Porlamar, la ville principale, est leur terrain de jeu privilégié: ils s'y retrouvent par dizaines et coincent tous les axes par leur présence agglutinée, ce qui est particulièrement pratique dans une cité où la majeure partie des rues sont à sens unique...<br />Bon, si on n'aime pas le bus <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">on peut toujours prendre les taxis collectifs</span>, qu'on appelle ici des <span style="font-style:italic;">por puestos,</span> parce qu'on y loue sa place à l'unité. Si on n'apprécie pas trop la promiscuité locale, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">on peut les affrêter pour soi tout seul</span> et ça devient alors un simple taxi, mais il faudra bien sûr payer pour toutes les places inoccupées. En fait, les <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">por puestos,</span> c'est rigolo: généralement, il s'agit de véhicules ayant connu au bas mot la guerre des Gaules et qui sont dans un état que deux fois sur trois il faut s’arrêter pour changer des bielles en cours de route. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Ces voitures roulent, d’accord, mais faut avoir confiance: </span>pare-brise explosés, carrosseries parties en vacances, châssis voilés, garnitures intérieures inexistantes, portes qui ne ferment pas, pneus usés à la corde, phares cassés, etc. Y a que le moteur et les freins qu’ont l’air de tourner pas trop mal. Le minimum vital. C'est d'ailleurs pour cette raison que <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">les chauffeurs ne dépassent pas le 25 km à l’heure...</span> En plus, comme y a pas de clim’ on a bien le temps de sentir la chaleur à travers les fenêtres et la tôle défoncée… Il n'est pas rare que sur un trajet il faille poireauter sur le bord de la route en attendant que le gugus répare sa chiotte, ou alors finir à pied ou encore tenter sa chance avec la voiture suivante. C'est une expérience...<div>Ici comme presque partout dans le monde, les transports publics se sentent une espèce de droit divin à faire ce qu’ils veulent, en particulier chier le monde; ils sont chez eux sur la route et les autres n’ont qu’à bien se tenir ! Dans le cas des <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">por puestos</span>, incontestablement les véhicules les plus dangereux du trafic, ça devient du délire généralisé… <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Eux, ils s’arrêtent n’importe où et n’importe comment pour faire monter et descendre leurs clients.</span> Pas un arrêt fixe – ou alors il faut bien connaître l’endroit pour le savoir – pas un signe qui permette de deviner qu’ils vont s’arrêter, sauf si des gens font de grands gestes depuis le trottoir. Le pire, c’est que <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">la plupart du temps leurs bagnoles ne sont pas identifiables,</span> vu qu’ils devraient avoir des plaques jaunes de taxi mais que bien souvent ce sont des mecs qui biznessent avec leur propre bagnole et sans aucune autorisation. Donc pour les repérer, c’est pas la joie.<br /><div><div>Pour les taxis standards, en revanche, on a généralement à faire à des koréanneries et des japoniaiseries, ce qui est bien dommage car ces vieilles amerloques – la plupart du temps des américaines des années 70 ou 80 – avaient bien de la gueule! <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Les chauffeurs conduisent souvent comme des Mad Max surchauffés à l'acide,</span> ce qui permet de traverser toute l'île à la vitesse d'un Mig-35 par vent arrière. Par contre, les nids-de-poule et autres spécialités macadamesques typiquement vénézuéliennes seront particulièrement bien ressenties!</div><div>Dans tous les transports de l'île, exceptés les taxis sauvages, c'est-à-dire des privés qui embarquent du monde pour arrondir leurs fins de mois, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">les tarifs sont fixes, bien qu'il n'y ait aucun compteur dans les véhicules; </span>ça vaut aussi pour les <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">por puestos</span> – Conseil si on ignore le tarif en vigueur: bien regarder les échanges de monnaie entre le conducteur et les clients. Depuis les hôtels, l'aéroport ou les centres commerciaux, les prix sont normalement affichés, mais méfiance tout de même à l'opportunisme légendaire du Vénézuélien moyen...</div><div style="text-align: right;"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">Good luck, folks !</span></span></div><div style="text-align: right;"><br /></div></div></div></div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-10033842665987596092008-07-25T08:35:00.001-07:002008-07-29T09:48:25.020-07:00Les paradoxes du Venezuela<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhUyUi4Jxs6v3OB17Zx5OJf628np9B_vQErix5PpRwCpEEGTy80QNOpY3IV8TgmLD4hOa6QVVo1KV9zVVM2sh0zW-bnb7TH_kNH4vsBZcwdzk97p9TYGmkoDEHsMcPgvgPFqhzywp3vd_8/s1600-h/Creme+solaire.jpg"><img style="float:right; margin:0 0 10px 10px;cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhUyUi4Jxs6v3OB17Zx5OJf628np9B_vQErix5PpRwCpEEGTy80QNOpY3IV8TgmLD4hOa6QVVo1KV9zVVM2sh0zW-bnb7TH_kNH4vsBZcwdzk97p9TYGmkoDEHsMcPgvgPFqhzywp3vd_8/s320/Creme+solaire.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5228478863608152066" /></a><br /><span style="font-weight: bold;">Comme tous les pays, le Venezuela est un pays bourré de paradoxes,</span> mais comme le souligne notre <a style="color: rgb(51, 102, 255); font-weight: bold;" href="http://margariteno.blogspot.com/2007/12/les-paradoxes-du-vnzula.html">inestimable ami,</a> il y a tout de même quelques exceptions. Cette mise en garde établie, voyons donc de quelles contradictions est faite la société locale...<br /><span style="font-weight: bold;">Richesse-Pauvreté:</span><br />Malgré que ce pays soit l'un des plus riches en matières premières, le premier regard que l'on pose sur lui en arrivant est choqué par <span style="font-weight: bold;">la pauvreté et la saleté ambiantes. </span>Normal, personne ne lève le plus petit doigt pour simplement bosser. Ici, la loi du plus laxiste domine, c'est à celui qui en fera le moins possible. <span style="font-weight: bold;">Certains travaillent, certes, lorsque la bière vient à manquer </span>ou si pour une raison ou une autre il y a nécessité, mais sinon c'est le hamac ou la chaise au bord de la route, à regarder passer les piétons et les voitures. C'était déjà le cas sous Christiophe Colomb (lisez donc son journal de bord, c'est édifiant), ce qui prouve que les Espagnols n'ont pas amené grand chose à la race préexistante dans la région, qui, rappelons-le au passage, ne connaissait ni le travail du fer, ni l'écriture, ni même la roue à l'arrivée des méchants conquistadores (attention, on va encore se faire incendier par les "touche pas à mon pote Vénèze"...). Bref, <span style="font-weight: bold;">les infrastructures publiques – et privées – sont donc laissées à l'abandon,</span> c'est bien trop d'efforts de les entretenir. Il est bien plus simple d'attendre que tout s'écroule et de reconstruire derrière, surtout avec la manne du pétrole qui n'est pas prête de s'épuiser.<br /><span style="font-weight: bold;">Gentillesse-Insécurité:</span><br />Les gens dans le pays sont très gentils, rien ne sert de le nier. Aimables, serviables, jamais malintentionnés... Vraiment? <span style="font-weight: bold;">Le trait caractéristique de la société vénézuélienne est pourtant l'opportunisme. </span>Entre eux, déjà, mais surtout face aux étrangers, bien sûr, l'opportunisme est une loi. Chacun doit trouver le moyen de profiter des autres, pour éviter d'avoir à travailler ou fournir des efforts. Un expatrié de longue date disait un jour: «Ici, il faut veiller à ne pas devenir l'opportunité des autres...» Dans une famille de 10 ou 12 personnes, il n'est pas rare qu'un seul d'entre eux travaille et fasse donc vivre les autres. Personne ne dit rien, la chose est acceptée, c'est la norme. <span style="font-weight: bold;">Bien entendu, cela engendre de la rapine, du vol et autres joyeusetés; </span>on peut difficilement passer son temps à claquer du fric au Sambil sans un minimum fournir d'efforts pour se faire un salaire! <span style="font-weight: bold;">Au rayon des brigandages et des </span><span style="font-style: italic; font-weight: bold;">secuestro express,</span><span style="font-weight: bold;"> le Venezuela est ainsi passé roi,</span> avec l'aval de la police, qui est loin de chercher à intervenir, surtout quand les victimes sont des étrangers pleins aux as...<br /><span style="font-weight: bold;">Serviabilité-Inefficacité:</span><br />La serviabilité et la solidarité sont des mythes au Venezuela, et surtout à Margarita. Ici, les gens ne vivent que pour eux, sans jamais se préoccuper de ce que vivent les autres. <span style="font-weight: bold;">C'est vraiment à chacun sa merde et les chèvres seront bien gardées, </span>une réalité vérifiable à tout instant dans tous les pans de la société. Alors comment expliquer l'apparente serviabilité des autochtones, par exemple lorsqu'ils vous dépannent au milieu de la route sans compter leur temps? Simple, c'est pour <span style="font-weight: bold;">2 raisons qui n'ont strictement RIEN à voir avec la serviabilité:</span><br /><span style="font-weight: bold; color: rgb(255, 0, 0);">1) La curiosité...</span> Ici il faut <span style="font-weight: bold;">voir</span>, <span style="font-weight: bold;">savoir</span>, <span style="font-weight: bold;">comprendre</span> ce qui se passe chez les voisins ou les passants. Bien plus que n'importe où ailleurs, le Vénézuélien moyen, et surtout le Margariteño, insulaire par définition, veut mettre son grain de sel dans tout ce qui passe à sa portée. Alors <span style="font-weight: bold;">une bagnole en rade, c'est une conversation familiale assurée pour plusieurs heures</span> à son retour chez lui...<span style="font-weight: bold;"> </span>Ne parlons pas de si le mec dépanné est un étranger, avec une bagnole exotique ou hors de prix: le must!<br /><span style="font-weight: bold; color: rgb(255, 0, 0);">2) Le temps ne compte pas, </span>alors s'arrêter pour voir ce qui se passe ne lui coûtera rien et le détendra pour la journée. En plus, ça lui donnera <span style="font-weight: bold;">une excellente excuse pour arriver en retard</span> à son boulot ou poser un lapin – le sport national – à un rencart.<br /><span style="font-weight: bold;">Machisme-Soumission:</span><br />Comme tout pays latino qui se respecte, <span style="font-weight: bold;">le Venezuela est truffé de machos et les gonzesses adorent ça. </span>Pour emballer une nana, ici, faut assurer côté roulage de mécaniques, sinon on est considérés comme de vulgaires tarlouzes. A moins, bien sûr, que l'on n'ait recours à quelque jeune fille consentente pour quelques bolivars, auquel cas celle-ci ne fera pas trop d'histoires devant les manières un brin efféminées (lisez "galantes") de son compagnon d'outre-Atlantique.<br />Contrairement à ce que pensent la plupart des expats qui ne vont que très rarement voir ce qui se passe chez le populo local, les hommes n'entretiennent en rien le foyer... En fait, lorsqu'ils ont du taf, <span style="font-weight: bold;">les mecs filent un chouïa de leur revenu à leur nana et gardent le reste pour aller se payer des bières avec les potes.</span> Si le foyer tourne, si les gosses ont des vêtements, si la famille ne crie pas famine, c'est juste parce que les gonzesses économisent comme des souris sur les maigres pépettes que leur allouent leurs généreux maris. <span style="font-weight: bold;">En public, par contre, c'est le mec qui paie,</span> quoi qu'il arrive, et même dans le cas où le gars n'aurait plus un rond pour ramener sa greluche en taxi, cette dernière ne sortira pas un <span style="font-style: italic;">bolo</span> pour l'aider, même si elle a sa cagnotte personnelle sur elle. Idem pour les bonnes manières et la politesse envers le sexe faible:<span style="font-weight: bold;"> ici tout n'est que paraître, encore et toujours... </span>A la maison, la gnôle aidant, les tartes volent bas et la tromperie est monnaie courante!<br /><span style="font-weight: bold;">Modernité-Ancienneté:</span><br />ici, les vieilles bagnoles américaines côtoient sans vergogne les derniers modèles de chez Peugeot ou Chevrolet: <span style="font-weight: bold;">normal, c'est une question de blé!</span> Les nantis ne se privent pas d'afficher devant le peuple ébahi les millions de salaires qu'ils se font grassement sur le dos du citoyen lambda chaque mois. En revanche, <span style="font-weight: bold;">les peigne-culs ont aussi maintenant de quoi s'équiper quasi gratoche</span> grâce aux nombreuses aides et subventions de Papa Chávez, qui n'hésite pas à octroyer des crédits à la pelle ou à payer la moitié des nouvelles bagnoles pour les gagne-petits.<br /><span style="font-weight: bold;">Respect-Incivilité:</span><br />A Margarita, tout le monde se fout de tout le monde, l'a-t-on déjà dit? <span style="font-weight: bold;">En conséquence, c'est pas la politesse qui risque d'étouffer le peuple local.</span> Surtout que la politesse est étroitement liée à l'éducation et que, comme on l'a déjà sous-entendu, c'est pas le point fort des autochtones... Résultat, <span style="font-weight: bold;">personne ne dit jamais "bonjour" ou "merci",</span> les services sont déplorables dans tous les commerces, les gens se tirent la bourre dès qu'ils peuvent, se font des queues de poisson à la moindre occase. <span style="font-weight: bold;">Ici, tout est dû à tout le monde:</span> rien ne sert de demander poliment, y a qu'à exiger, voire faucher. Tellement plus simple et plus accomodant! Par contre, comme expliqué précédemment, <span style="font-weight: bold; color: rgb(255, 0, 0);">ATTENTION AU PARAÎTRE:</span> donc il convient de faire semblant d'être des gens biens, donc il n'est pas question d'élever la voix ou de s'insulter... On n'est pas des sauvages, tout de même!El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com6tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-36430174850057965512008-07-23T10:35:00.000-07:002008-07-29T09:51:31.414-07:00Contrôles d'alcoolémie à Margarita<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFSXM0rWQQiY1VcCfx3eJAfk7dwxz59hKR7rRBRxuSNHji5cDcXK2ncGGyQKCGXF_hUvQjUP8UZQH43o56HPSBKI7TfvnmJGoLBgF6IuXFKmJs0MHpCqwJjYjJ5sOQaXUEtjrH_489KCc/s1600-h/ElSolMargarita2.jpg"><img style="cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEhFSXM0rWQQiY1VcCfx3eJAfk7dwxz59hKR7rRBRxuSNHji5cDcXK2ncGGyQKCGXF_hUvQjUP8UZQH43o56HPSBKI7TfvnmJGoLBgF6IuXFKmJs0MHpCqwJjYjJ5sOQaXUEtjrH_489KCc/s320/ElSolMargarita2.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5228479655322749682" /></a><br /><div>Notre <a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/07/contrles-dalcoolmie-margarita.html"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">inénarrable confrère</span></span></a> et néanmoins ami nous indique que le quotidien <a href="http://www.elsoldemargarita.com.ve/Noticias.aspx?NoticiaId=18738&SeccionId=9">Sol de Margarita</a> (<span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">formidable source d'informations</span> qui consiste en une feuille de chou principalement remplie de petites annonces et de réclames publicitaires) nous informe que les autorités locales ont décidé d'opérer des contrôles du taux d'alcoolémie au volant. Bien. Bonne chose. Surtout pour la police, qui pourra faire <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">de substantiels bénéfices</span> sur les étourdis qui ne se seront pas méfiés.<br /></div><div>Ici, les contrôles routiers se nomment des <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">alcabalas</span> et sont le principal moyen qu'ont les policiers d'<span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">arrondir leurs fins de mois.</span> C'est au point que bien des gardiens de la paix, le soir, une fois leur service terminé, ressortent pour mettre en place <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">des contrôles sauvages</span> afin de faire raquer le citoyen moyen, qui a toujours quelque chose à se reprocher, surtout dans un pays où il est <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">presque impossible de se mettre en règle</span> tant l'administration est pesante et inefficace.</div><div>Dans les faits, les barrages de police, même s'ils permettent d'appréhender de réels contrevenants, sont surtout efficaces pour repérer <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">les individus susceptibles de cracher au bassinet.</span> Une fois arrêtés sur le bord de la route, ceux-ci n'ont plus qu'à négocier pour éviter le séquestre du véhicule, une mesure généreusement pratiquée par les agents en cas de refus de coopérer et qui se solde généralement par des troubles à n'en plus finir pour récupérer le véhicule, où ce qu'il en restera d'ici là. Donc <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">on parlemente, on explique, on marchande</span> et au final on s'arrange en réglant ce que le policier nomme subtilement un <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">regalo</span>, c'est-à-dire un "cadeau", afin d'éviter des embrouilles bien plus problématiques, ce dont les deux parties sont pleinement conscientes.</div><div>Si <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">toutes les classes sociales sont visées</span> par le racketteur de la route, le prix du <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">regalo</span> sera bien entendu fixé selon les moyens – réels ou supposés – du pauvre mec arrêté. Pas besoin de préciser que<span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"> les étrangers ont droit à un barême </span><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">muy especial</span></span> et fort privilégié par rapport au maçon qui rentre chez lui au volant de sa Malibu déglinguée.</div><div>Pour la petite histoire, il faut savoir que théoriquement, comme aux États-Unis, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">il est interdit de boire de l'alcool au Venezuela sur la voie publique.</span> D'ailleurs, à Caracas, nombreux sont ceux qui ne s'y risqueraient pas. A Margarita, en revanche, le mode de vie plutôt décontracté des autochtones permet de <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">se pinter la gueule sans souci</span> sur le trottoir de la <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">licorería</span> du coin, bien souvent en compagnie de policiers qui viennent sans complexe y chercher les bières qu'ils siffleront au volant, quand ce n'est pas au guidon de leur moto, sans casque et avec une donzelle en selle.</div><div>Bref, on l'aura compris, l'opération anti-alcool au volant sera excellente pour <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">renflouer les caisses de ces messieurs de la force publique</span>, particulièrement dans ce pays où tout le monde s'envoie de la bière et du mauvais whisky à longueur de soirées et de week-end. Par contre, pour faire baisser le nombre d'alcooliques au mètre carré, il y aura encore bien du boulot...</div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">Et pour ne pas terminer sur une note trop négative</span></span> (<a href="http://margariteno.blogspot.com/"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">certains</span></span></a> s'en offusquent régulièrement), citons deux anecdotes qui font plaisir et nous réconcilient avec le mode de vie local:</div><div>- Lors d'une beuverie digne des plus remarquables soirées entre Polonais, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">un expat et sa famille se sont faits sermonner par des flicards</span> qui pointaient aux abords d'El Agua. Devant l'état de Monsieur les policiers ont obligeamment insisté pour que Madame prenne le volant car il y avait des enfants en voiture et les badauds (fort nombreux) étaient déjà endeuillés pour eux... Le lendemain, la femme se renseigne auprès d'un autochtone pour savoir <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">ce qui se passe au niveau légal</span> lorsqu'il y a contrôle de police: amende, retrait de permis et tutti quanti. Rien, répond le Venez, normalement, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">les policiers donnent des aspirines au personnage imbibé et, au besoin, le ramènent chez</span> lui pour qu'il n'y ait pas d'accident. Formidable pays où la sollicitude des habitants – flics compris – n'a souvent pas de limites!</div><div>- L'autre jour, une famille de Venez de Caracas arrive sur son lieu de résidence estivale au volant d'une Renault Logan. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">A bord du véhicule: 9 personnes</span> (4 enfants, mais tout de même) <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">avec poussettes et bagages,</span> qui comprennent le nécessaire pour cuisiner, dormir et aller à la plage... Décidément, on ne cessera jamais de rigoler avec les autochtones. Ceci dit, les contrôles routiers sur la surcharge (éventuelle) des voitures risquent de pas mal rapporter...</div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-15778506599589066522008-07-21T08:08:00.000-07:002008-07-21T11:10:51.469-07:00Respect des lois vénézuéliennes<span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">La loi vénézuélienne interdit</span> à tous les étrangers et ressortissants nationaux <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">de critiquer les actions du gouvernement,</span> sous peine de vives représailles, comme l'amende, l'emprisonnement ou l'expulsion. Dont acte.<div><a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/07/respect-des-lois-venezueliennes.html"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">Certains</span></span></a> semblent donc avoir pris peur devant le danger de <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">perdre leur place au paradis tropical</span> le plus prisé des Caraïbes, et donc renvoient l'image la plus lisse possible de ce pays, certes bourré de qualités, mais <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">aussi fâcheux que n'importe lequel autre</span> dans le monde. Dommage... Si les premiers concernés, les expatriés, confrontés à la réalité locale mais <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">qui bénéficient d'un regard extérieur</span>, ne s'autorisent pas un peu de pince-fesses, qui le fera? Les Vénézuéliens ? On en doute ! Ici, tout est beau et tout le monde il est gentil; ça rappelle du Jean Yanne, l'humour en moins...</div><div>A peine s'autorisent-ils (les Vénézuéliens) <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">quelques critiques du bout des lèvres</span> du genre que oui, ils aiment un peu trop la fête, et que, surtout, c'est tout de la faute de ceux qui sont pas instruits, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">qu'entre eux ils appellent les </span><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">monos</span></span>, c'est-à-dire les singes! Pas grave, il suffit de venir se frotter aux autochtones pour réaliser la difficulté qu'il y a à évoluer dans un monde où <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">seul le paraître a de l'importance.</span> <span class="Apple-style-span" style="">Les façades des maisons qui sont seules peintes</span>, laissant le reste de l'habitation en friche, quand ce n'est pas pire, n'en sont-elles pas un parfait exemple?</div><div>L'opportunisme, le mensonge, le vol (plus ou moins aggravé), le racisme (demandez aux Indiens, aux Noirs et autres Chinois ce qu'ils en pensent), le manque chronique (et la plupart du temps volontaire) d'instruction et d'éducation – partant: d'hygiène, du culture et de politesse –, la corruption, le je-m'en-foutisme, l'irresponsabilité, l'incapacité à affronter les contrariétés – qui engendre l'ineffable fuite en avant du trop fameux "<span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">mañana</span>" –, à fournir des efforts, à être curieux (essayez de leur faire manger autre chose que des <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">empanadas</span>), <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">sont autant de facettes du réel vénézuélien</span> (et surtout <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">margariteño</span>, convenons qu'ailleurs la situation est généralement meilleure) qu'il convient de cacher sous le tapis... C'est qu'il faut vendre l'île, le pays, la destination. Notre survie en ces lieux est à ce prix, quitte à fermer sa gueule sur tout le reste. Ouaip...</div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Les Vénézuéliens sont des gens charmants.</span> Bourrés de gentillesse et de sympathie. Leur pays est beau, très beau. Leur gouvernement est plein de bonnes intentions et a déjà changé pas mal de choses. Oui. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Et il faut respecter ses lois.</span> C'est l'évidence. Et puis fermer sa gueule, aussi. Et ne pas prononcer certains mots. Ne pas être ordurier. Ni non plus grossier. Ne pas être méchant avec les gens. Ne pas faire pipi dans les coins. Peut-être aussi devenir un peu catholique. C'est mieux pour la paix des ménages.</div><div>Voilà, on a fait le tour, non?</div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com1tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-55143968169084027172008-07-17T07:11:00.000-07:002008-07-29T09:52:10.381-07:00Campagne écologique à Margarita<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjupfb9HOK9RPZbavimNNDbw4VIkod51QdFYl8xvE3uNJKHXeMdmLueUYAjEcnRhJ_6oppCUUyToCbYimjMUujffxK3nJIlt9AR090RoX2P9MAINV5ANUbv9Olttww-ngkLCmS4Ms3ypQw/s1600-h/ElSol1707.jpg"><img style="cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEjupfb9HOK9RPZbavimNNDbw4VIkod51QdFYl8xvE3uNJKHXeMdmLueUYAjEcnRhJ_6oppCUUyToCbYimjMUujffxK3nJIlt9AR090RoX2P9MAINV5ANUbv9Olttww-ngkLCmS4Ms3ypQw/s320/ElSol1707.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5228479831956167010" /></a><br /><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold; ">«La Isla es tu casa ¡cuídala!»</span><br /></div><div>Voici le nouveau slogan de la dernière campagne de nettoyage de l'île. Parce qu'il faut dire que pour un paradis, Margarita fait plutôt triste figure et aurait davantage des allures de <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">décharge publique</span> que de "perle des Caraïbes". Partout, dans les espaces publics mais aussi dans les enceintes privées, autour des maisons ou sur les plages, s'amoncellent des bouteilles vides, des paquets de chips, des ordures et des déchets. La chose n'est d'ailleurs pas limitée à la seule île de Margarita, mais c'est peut-être un peu plus marqué ici qu'ailleurs au Venezuela étant donné le laxisme légendaire et le sinistre manque d'éducation des insulaires.</div><div>Margarita est donc un sorte de <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">grand container à ciel ouvert de déchets</span> et cette nouvelle campagne est la bienvenue. Pourtant, au vu des habitudes indigènes on peut fortement douter de sa future efficacité. Il ne s'agit pas ici de saper d'avance le beau et désintéressé moral des troupes, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">mais de tempérer les sauts de joie</span> de <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/07/campagne-cologique-margarita.html"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">certains</span></a></span>, qui n'ont pas totalement saisi que jeter ses déchets par la fenêtre de la voiture ou sur le patio même de sa maisonnette était si profondément ancré dans les moeurs vénézuéliennes qu'il y a (malheureusement) fort à parier que la démarche s'apparentera plus à un <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">emplâtre sur une jambe de bois</span> qu'à une réelle prise de conscience.</div><div>Notons tout de même que le phénomène n'est pas propre au Venezuela et que de très nombreux pays "en voie de développement" (ça fait mieux que du "tiers-monde") connaissent ce genre de situations, probablement plus liées au niveau d'éducation qu'à un éventuel déficit génétique.</div><div>Ceci étant dit, la problématique renvoie à celle, plus générale, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">des réformes et des efforts engagés</span> par le gouvernement de Chávez, qui sont probablement plus destinés à s'enliser dans la formidable<span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"> force d'inertie du peuple vénézuélien</span> qu'à modifier un paysage de plus en plus sombre... </div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-6130748668805449102008-07-16T07:36:00.000-07:002008-07-17T07:33:50.489-07:00Acheter sur l'île de Margarita<span style="font-weight:bold;">Q. Quels sont les documents nécessaires afin d’acheter un bien immobilier?<br /></span>- Tout le monde peut devenir propriétaire au Venezuela, même un simple touriste. Passeport (le visa n'est pas obligatoire si vous avez la <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">Tarjeta de Ingreso,</span> la feuille verte remise dans l'avion et qui fait office de visa pour les Européens) et un RIF personnel, un numéro de contribuable gratuit et facile à obtenir au SENIAT, l'administration fiscale.<div>- Il faut toutefois savoir que <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">pour vendre</span> quoi que ce soit il est IMPÉRATIF de signer avec son épouse ou mari, ce qui, en cas de visite-éclair, peut parfois jouer quelques mauvais tour (votre femme ou mari n'est pas forcément avec vous à ce moment-là).<br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Q. Pourquoi <span class="Apple-style-span" style=""><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">NE SURTOUT PAS</span></span> investir dans un bien immobilier à Margarita ?<br /></span>- D'abord, s'il est vrai que les prix de l’immobilier restent très abordables à Margarita [avec des premiers prix à environ <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">20000 euros</span> pour un appartement équipé, dans une résidence avec vigile, portail électrique, piscine et jardin tropical.<span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);"> </span><span class="Apple-style-span" style=""><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style=""><a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/07/acheter-sur-lle-de-margarita.html"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">Ceux qui vous parlent</span></a></span></span></span> de premiers prix à 50000 ou 60000 euros sont des profiteurs... Les prix locaux n'ont rien à voir avec l'Europe, et même le reste du monde, alors la marge est suffisante pour ces derniers de présenter des prix très attractifs tout en se faisant de la laine sur le dos des étrangers qui ne sont pas au fait des prix réels pratiqués ici. Quand ils le seront, au fait, ce sera trop tard], en revanche, il faut savoir que <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">la qualité (déplorable) de la fabrication locale</span> est bien évidemment en rapport avec son faible coût. Toute construction, au Venezuela, est de qualité lamentable, il vaut mieux le savoir avant d'acheter. La faute aux matériaux de très basse condition, mais aussi à la main d'oeuvre qui n'est jamais qualifiée, au mieux expérimentée, ce qui ne suffit pas à nos habitudes européennes. Lapalissade: si on veut obtenir une qualité proche de ce à quoi on est habitués, c'est souvent impossible, mais si ça l'est parfois le prix sera du coup très proche de ceux pratiqués en Europe... Eh oui, ici non plus, il n'y a pas de miracle!</div><div>- Contrairement à ce qui est souvent affirmé par <span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style=""><a href="http://margariteno.blogspot.com/"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">des sites à but commercial</span></a></span><a href="http://margariteno.blogspot.com/"> </a></span></span>qui font de la retape en Europe, Margarita est un <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">très mauvais endroit pour faire des placements.</span> Comme disait un expat célèbre dans l'île: <span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">«Margarita est un excellent endroit pour y passer sa retraite, mais surtout pas pour y faire quoi que ce soit d'autre»!</span></span> Tout d'abord il y a le problème du <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">contrôle des changes.</span> Techniquement, tout investissement dans le pays doit passer par la SIEX, un organisme officiel qui va vous obliger à montrer patte blanche et à changer votre argent <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">au taux officiel.</span> Or à ce jour, le dollar officiel se change à 2150 bolivars et le taux au noir, base de toutes les transactions et qui permet aux étrangers d'y gagner "au change" est à plus de 3000, et a même été jusqu'à 6000 l'automne dernier. Le manque à gagner est donc considérable! Bien entendu, tous les étrangers contournent la SIEX (quand ils savent que le service existe...) et font leur petite popotte sans rien demander à personne. Du coup, ils sont <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">techniquement hors-la-loi,</span> ce qui en soi n'est pas très grave mais peut à tout moment le devenir, surtout sous le régime de Chávez, qui a la fâcheuse tendance à vouloir mettre le nez partout... L'autre gros problème en cas d'investissement à Margarita, est que <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">lorsque vous voudrez revendre</span> votre bien immobilier vous toucherez de l'argent en monnaie locale, c'est-à-dire en bolivars, ce qui ne vous servira pas à grand chose... Vous pourrez rechanger vos bolivars en dollars, certes, mais au black et <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">à méga-perte...</span> Il y a nettement mieux comme manière de gagner de l'argent!</div><div>-Une autre bonne raison de <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold; ">ne pas investir dans l'immobilier à Margarita</span> (sauf si on veut y habiter, bien sûr), est que vu le climat (plus ou moins 35 degrés en moyenne sur l'année), le sable, le sel, les pluies tropicales, les insectes omniprésents et la mauvaise qualité des constructions font que ces dernières <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold; ">se dégradent à une vitesse supersonique.</span> Cela occasionne donc une maintenance de tous les instants: les clims, les appareils électriques, les véhicules, les moteurs de pompe à eau, les toitures se décomposent, ce qui force à réinvestir sans cesse le peu gagné par les éventuels loyers touchés. Et ceci sans parler de <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">l'énergie perdue</span> en déplacements de toutes sortes pour aller chercher du matériel de réparation, des ouvriers, etc. Par ailleurs, l'île est fréquemment<span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"> en rupture de matériaux</span> (ciment, briques, etc...), ce qui repousse souvent aux calendes grecques certains travaux.<br /></div><div>- Si, par malheur, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">vous avez déjà investi</span> dans l'immobilier à Margarita en pensant faire une affaire, vous vous rendrez vite compte que: si vous louez en <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">temporada</span> (saison touristique) à des Vénézuéliens en villégiature, le montant de la location possible sur une année <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">couvrira à peine</span> les frais d'entretien annuels (réparations, charges, <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">condominio</span> - frais collectifs de la résidence ou de l'immeuble). <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Si vous louez à des étrangers,</span> il faudra d'abord les convaincre, et comme l'offre est plus qu'importante dans toute l'île il faudra méchamment jouer de l'ADSL pour les attirer. De plus, les étrangers ne fréquentent que peu l'île par rapport aux touristes nationaux, ce qui limitera considérablement le nombre de semaines louables. Par ailleurs, les petits soucis du quotidien (par exemple les <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">sempiternelles coupures de courant,</span> jusqu'à plusieurs heures plusieurs fois par semaines, ou <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">le rationnement d'eau,</span> souvent drastique pour ne pas dire plus) qui n'effraient pas les Vénézuéliens, habitués à pire, vont salement dégoûter des touristes habitués au tout confort et services que l'on peut rencontrer en Asie, par exemple, sans parler de ce qu'ils ont à domicile. </div><div>- Reste encore <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">la personne de confiance</span> qui devra se charger de gérer votre bien en votre absence... Pas si simple et pas si bon marché! Au cas où vous devriez <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">laisser vide et sans surveillance </span>votre achat immobilier, vos chances de le retrouver intact et sans squatters quelques mois plus tard serait de l'ordre de... disons 0,5% !</div><div>- Disons encore que si les démarches sont effectivement assez faciles pour acheter à Margarita, il faut tout de même savoir que <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">les arnaques sont légions</span> et qu'il vaut mieux maîtriser la langue de Cervantes avant de se lancer à l'aveuglette dans <span class="Apple-style-span" style="">un monde où tout paraît bleu-caraïbe mais où</span><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"> les requins ne sont jamais loin...</span> A commencer par les <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Français expatriés </span>qui n'attendent que votre confiance pour arrondir leurs fins de mois!<br /></div><div style="text-align: right;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);"><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">A bon entendeur.</span></span></div><div><br /></div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com2tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-45745273961794676202008-07-14T07:16:00.000-07:002008-07-17T07:34:47.840-07:00Miss Univers 2008 est vénézuélienne<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEin05YfTD_bL1mPcI_sQibl5xFJoaBOzojJXluPvq3zsbkARj-H8EO45SahbV3SNgjdUDjQq4hwMGJyOSG-XkglxriXMxphd1GTpZGPppppKi6mJZutTyRMmx6oAj4kh_BpRl60wKk03n8/s1600-h/DayanaMendoza2.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEin05YfTD_bL1mPcI_sQibl5xFJoaBOzojJXluPvq3zsbkARj-H8EO45SahbV3SNgjdUDjQq4hwMGJyOSG-XkglxriXMxphd1GTpZGPppppKi6mJZutTyRMmx6oAj4kh_BpRl60wKk03n8/s320/DayanaMendoza2.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5222876922093362210" /><br /></a><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238); text-decoration: underline;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238); text-decoration: underline;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238); text-decoration: underline;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238); text-decoration: underline;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238); text-decoration: underline;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238); text-decoration: underline;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238); text-decoration: underline;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238); text-decoration: underline;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238); text-decoration: underline;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238); text-decoration: underline;"><br /></span></div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238); text-decoration: underline;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238); text-decoration: underline;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238); text-decoration: underline;"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238); text-decoration: underline;"><br /></span></div><div><br /><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgH9OIAIMiYG5BlzqXViNFYtft36KL9I9ZLpEG1N9EVwfAtZOnaWp84jYmUcMARd1dmxsb9DUlarV_sIkr8CIi-4CVbf_sRo-UB77NB5kcI9Ni4TIuRdhS3BjoMpT6p3lVq7RjKZhHCtQI/s1600-h/DayanaMendoza.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgH9OIAIMiYG5BlzqXViNFYtft36KL9I9ZLpEG1N9EVwfAtZOnaWp84jYmUcMARd1dmxsb9DUlarV_sIkr8CIi-4CVbf_sRo-UB77NB5kcI9Ni4TIuRdhS3BjoMpT6p3lVq7RjKZhHCtQI/s320/DayanaMendoza.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5222876821702453586" /></a></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1wUXtjdNmXLshZCQTI7GD1lJYC4HLYam7gzdDSose33dUCLoNKcjs_m5YVmjTUl8XSeEwrWu9PW8-Z6b4sVf5FH_7xjrfAbM3_mFBj3ZKb8tGsLuWsRISqwZLT2Ki21fwtXjT2yoPCG8/s1600-h/ElSoldeMargarita2.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEh1wUXtjdNmXLshZCQTI7GD1lJYC4HLYam7gzdDSose33dUCLoNKcjs_m5YVmjTUl8XSeEwrWu9PW8-Z6b4sVf5FH_7xjrfAbM3_mFBj3ZKb8tGsLuWsRISqwZLT2Ki21fwtXjT2yoPCG8/s320/ElSoldeMargarita2.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5222876714869170818" /><br /></a><a href="http://es.wikipedia.org/wiki/Dayana_Mendoza"></a><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238);"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238);"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238);"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238);"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238);"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238);"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238);"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238);"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238);"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238);"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238);"><br /></span></div><div><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(0, 0, 238);"><a href="http://es.wikipedia.org/wiki/Dayana_Mendoza">Dayana Mendoza</a></span>, vénézuélienne de Caracas, qui vient de fêter ses 22 ans (gloire à elle), a été sacrée Miss Univers. Ainsi, au rayon des <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">beautés surfaites</span>, artificielles et sans vie le Venezuela est roi! Une fois de plus...</div><div><div>Eh oui, le Venezuela, paradis des beautés latines en tous genres – et son <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">corollaire de putes</span> qui se vendent bon marché à Porlamar et cher à El Agua –, a encore frappé... A la face du monde ébahi (mais maintenant habitué), le pays d'<span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Alí Primera</span>, de <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Fernando Baez</span> et de<span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"> Robert Ganzo</span> s'est une fois de plus distingué avec ses pulpeuses égéries du nez pincé au bistouri, de la lèvre supérieure gonflée au caoutchouc et aux seins balconisés à la pompe à vélo, étonnamment bien<span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"> peu basanées pour des sud-américaines.</span></div><div>Triste réalité, donc: le Venezuela, pays de la nature s'il en est, de l'air pur des Andes au bleu-vert des Caraïbes, des Indiens waraos et de la force sauvage de l'Orénoque, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">vend ses beautés</span> féminines comme du vulgaire savon à barbe! Bien-sûr, les Vénézuéliens sont fiers, très fiers, de la beauté de leurs femmes, tandis que les <span class="Apple-style-span" style=""><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style=""><a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/07/miss-univers-2008-est-venezuelienne.html"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">étrangers expatriés</span></a></span></span></span> se félicitent d'avoir élu domicile dans ce merveilleux pays où ils peuvent se répandre entre les cuisses fraîches, cannelles et accortes des demoiselles qui comptent parmi les plus sexy du monde. Et souvent pour pas un rond, ou si peu.</div><div>Pourtant... la plupart des vénézuéliennes tombent <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">enceintes dès l'âge de 12 ans</span>, fertilisées par des mâles très fiers de procréer à tout va comme de vrais Hommes. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Planning familial?</span> Surtout pas... les filles, même à 12 ans, sont déjà très sûres de leur choix: avec un chiard dans les pattes elles sont assurées de rester chez papa-maman et <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">surtout d'éviter l'école!</span></div><div>A l'école, justement, quand les gosses n'y vont pas les trois-quarts du temps, personne ne dit rien, mais les maîtresses font passer des mots aux parents pour qu'ils envoient leur progéniture pour la fête de fin d'année: il ne faudrait <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">surtout pas manquer LA FIESTA...</span> Le reste, pas grave, le fils pourra toujours travouiller ou fauchouiller pour s'en sortir, et la fille... ben, la fille, elle n'aura qu'à aller à El Agua, y a <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">plein de touristes</span> qui n'attendent que ça!</div><div>A l'école, toujours, lors de la fête de fin d'année, les gamines de 5 ans (déjà), habillées comme des poufs par leurs parents, <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">se dandinent comme des putasses</span> au son d'un reggaeton poussé à 3000 watts. Les hanches se tendent, les petits-culs frottent les mini-bites de leurs partenaires de jeu, et les mains dansent en l'air avec des signes de "viens-seulement-me-troncher-qu'on soient-de-vrais-Venez". A la rentrée, pas de souci, il y aura des cours de prévention des <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">maladies sexuellement transmissibles</span> et des explications détaillées de <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">grossesses précoces</span>.</div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">En 2008,</span> donc, le modèle est toujours gagnant, alors pas de raison que ça change: continuons de valoriser l'esthétique et à nous trémousser pour faire bander les coqs... <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">Viva Venezuela !!!</span></span><br /><div><br /></div></div></div></div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com3tag:blogger.com,1999:blog-5414269049514753824.post-57064529241792879622008-07-13T07:37:00.000-07:002008-07-18T09:55:27.225-07:00Obtenir un permis de conduire<a onblur="try {parent.deselectBloggerImageGracefully();} catch(e) {}" href="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCUOk1Ve8W0SsHiTkZdzbLdlgKX6io5gcEPAEYLVarT4gk7wHcEihKF0vcfHgxD4csrEAXTd452C0RHcGssICo8UTm_0benDfpmWCXZ11AmBbGHpZ3Mx3JPpMPoM1t2p7jc1ViGG6Q9k0/s1600-h/licencia.jpg"><img style="float:left; margin:0 10px 10px 0;cursor:pointer; cursor:hand;" src="https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEgCUOk1Ve8W0SsHiTkZdzbLdlgKX6io5gcEPAEYLVarT4gk7wHcEihKF0vcfHgxD4csrEAXTd452C0RHcGssICo8UTm_0benDfpmWCXZ11AmBbGHpZ3Mx3JPpMPoM1t2p7jc1ViGG6Q9k0/s320/licencia.jpg" border="0" alt="" id="BLOGGER_PHOTO_ID_5222508796643204162" /></a><br /><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div><br /></div><div>En théorie, vous pouvez utiliser un permis international, mais en pratique, la plupart des policiers qui vous contrôlent cherchent à se faire de la tune. Donc: généralement ils refusent de reconnaître votre permis international comme valable – les excuses vont de: c'est seulement valable 1 mois, ou 2, ou 3, ou encore le Venezuela ne le reconnaît pas.</div><div>Conséquence: il faut soit <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">passer</span> le permis national, soit <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">l'acheter</span>.</div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style=""><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 204, 0);">Pour le passer:</span></span></span> bonjour l'ambiance... tractations à n'en plus finir, embrouilles administratives, heures d'attente, allers-retours à la banque, aux <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">transitos</span> et aux divers guichetons, bref, faut vraiment avoir que ça à foutre... Les zozos (suivez mon <span class="Apple-style-span" style=""><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style=""><a href="http://margariteno.blogspot.com/2008/07/obtenir-un-permis-de-conduire.html"><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 255);">regard</span></a></span></span></span>) qui vous proposent de le passer pour de vrai sont des mecs qui n'ont rien compris au Venezuela: <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">ici, tout se paie et s'achète, sinon c'est la croix et la bannière</span> – les obstacles sont d'ailleurs là pour forcer les gens à passer par la bande et donc subventionner les pots-de-vin. Pour ceux qui refusent de jouer le jeu, tant pis, y a plus qu'à galérer...</div><div><br /></div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style=""><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 204, 0);">Pour l'acheter:</span></span></span> no Prob... Suffit de se pointer à n'importe quel officine de <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">l'INTT</span> et il y a des floppées de mecs qui vous alpaguent directement devant pour vous revendre le produit. Au nez des flics, des administratifs et des passants, ça ne dérange personne!</div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">S'assurer tout d'abord </span>que le gars a l'air sérieux (par exemple s'il ne vous demande pas de <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">dato filatorio</span> ce sera du pipeau (les vrais-faux sont les plus courants, c'est-à-dire que le permis est véridique mais pas inscrit dans le système) et ensuite attendre généralement jusqu'au lendemain que ce soit prêt. Le gars demande une somme forfaitaire (ça change tout le temps en raison de l'inflation) qui inclut les divers frais (impôts, etc...), l'examen médical, l'examen proprement dit et son bénéfice. <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">Attention</span>, ne PAS payer plus que les frais administratifs qu'il demande avant l'obtention du sésame; c'est-à-dire garder la part du bénéfice jusqu'à la fin; c'est la carotte indispensable. Il vous faut 2 photos mais si vous en avez pas le gars vous emmènera au photomaton le plus proche, ne vous inquiétez pas. Ensuite il se chargera lui-même de faire la queue à la banque pour payer les diverses planillas, puis il ira faire tamponner un certo médical sans même que vous n'ayiez à voir un toubib, puis il ira passer l'examen à votre place, c'est-à-dire qu'il ira voir son contact au service et ressortira avec l'exa. effectué soit par lui soit par le copain (c'est un QCM et si vous le demandez vous pouvez même aller le passer avec le fameux copain, qui vous dira sur quelles touches appuyer...). Ensuite, le bénéfice sera partagé entre le gars et son copain de l'intérieur.</div><div>Vous n'aurez rien à faire que d'attendre et de revenir le lendemain le rechercher (parfois ils le sortent dans la foulée. Ensuite, demandez au gars qu'il voue emmène dans le bâtiment pour <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">vérifier</span> sur un ordino que votre permis est bien dans le système... C'est mieux et ça mange pas de pain. Donc vous allez droit sur le flic du <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">transito</span> derrière la machine et demandez à vérifier un N° de permis. Vous donnez votre N° de <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">cédula</span> et voyez ce qui sort... Le flic ne vous demandera rien et vous, vous serez tranquille que tout a été fait dans les règles.</div><div><span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;"><span class="Apple-style-span" style=""><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(255, 0, 0);">Attention:</span></span><span class="Apple-style-span" style="color: rgb(51, 51, 153);"> </span></span>le permis comporte le N° de <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">cédula</span>, par conséquent il faut être au minimum <span class="Apple-style-span" style="font-style: italic;">Transeúnte</span> pour le passer... </div><div>D'autre part, si le permis plastique est valable 5 ans, le certo médical doit se <span class="Apple-style-span" style="font-weight: bold;">renouveler chaque année</span>. Pour ce faire, aller chez un toubib agréé par l'INTT (il y en a un au Jumbo) et en général il vous le fait direct sans rien vous demander. Si votre certo médical est échu, les flics ne font généralement pas chier, suffit de négocier un brin...</div>El Margariteñohttp://www.blogger.com/profile/04546297480746901896noreply@blogger.com0